Suisse: Une nouvelle pour vous sauver de la radicalisation des jeunes

Le nouveau site permet aux professionnels de faire la différence entre les symptômes de radicalisation et les comportements non problématiques.

Quelles sont les principales caractéristiques des autres bureaucraties de l’extrémisme ?Quels sont les besoins juridiques applicables liés à la couverture des connaissances dans le cas d’un rapport lié à la radicalisation?Qui mérite de jouer dans les cantons? Voici quelques questions auxquelles sont confrontés les professionnels travaillant avec des adolescents et des jeunes adultes. Lundi, un site Web, www. contre-la-radicalisation. ch, a été mis en ligne pour les aider à voir clairement et à réagir.

Le site a été développé en collaboration avec un expert de la Haute école spécialisée de Zurich (ZHAW). C’est également une tâche conjointe de la Conférence des directeurs cantonaux des affaires sociales (CDAS), de l’Union des villes suisses et de la Conférence suisse sur l’action sociale. Institutions.

Il s’adresse principalement au personnel social et professionnel qui court avec d’autres jeunes et jeunes adultes, a déclaré le CDAS dans un communiqué. Mais il comprend également des données qui pourraient intéresser un public plus large. dans tous les cantons, ainsi qu’une description de la procédure à suivre en cas de suspicion de radicalisation ou d’extrémisme violent. Les sujets abordés sont également larges : extrémisme de droite, extrémisme de gauche, extrémisme djihadiste, extrémisme en jeu ou extrémisme similaire à la cause animale.

Le nouveau site devrait permettre aux professionnels de faire la différence entre les symptômes de radicalisation et les comportements non problématiques. Un outil rapide a également été développé dans le cadre de cette tâche de détection précoce qui devrait faciliter l’identification des symptômes de radicalisation imaginables, explique le CDAS.

Des documents ou des liens Web pour la prévention des peintures extrémistes avec d’autres jeunes et jeunes adultes sont également présentés en allemand, Français, italien et anglais de Suisse, d’Europe et d’organisations étrangères. Il convient également de noter que les données sont également dans les 3 langues nationales.

Pour rappel, une brochure de lutte contre la radicalisation a déjà été publiée en 2020 sur la Plateforme Jeunesse et Médias de l’Office fédéral de la sécurité sociale. Il s’agit d’empêcher d’autres jeunes vulnérables d’être attirés par le discours extrémiste.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *