La Bénichon, festival classique de Fribourg, réunit, unit et ravit toute une population. Résumé gastronomique de Fribourg à Cerniat Brent.
Les classiques du Bénichon conservent leur place même aux tables gastronomiques.
Briser un pot chaud est un moment de délices inouïs. Comme le jambon terminal ou les meringues, ce pain brioche subtilement safran est le produit vedette du classique classement De Benichon. Combiné avec un caramel et de la moutarde à l’anis étoilé, cannelle et clous de girofle, préfigure le début d’un moment gastronomique qui rappelle les coutumes de toute une région.
À l’origine, le Bénichon était une fête paroissiale pour remercier Dieu pour les récoltes récoltées de l’année, puis, au fil du temps, les traditions gastronomiques se rapportent à lui. C’est l’occasion pour les familles de Fribourg de se réunir autour d’une table et de partager un moment gastronomique. -voir passage culinaire régional, le festival va maintenant au-delà des frontières de Fribourg et atteint les tables des merveilleux restaurants gastronomiques.
Quant à Noel ou à Pâques, Stéphane Décotterd se souvient avec émotion des moments qu’un Benichon a passé autour d’un gigot d’agneau accompagné de purée de pommes de terre et de poires à Botzi. « J’ai grandi avec ce cercle de parents du parti. Mon père étant boucher, c’est qu’il préparait les jambons fumés du terminal. C’est un moment très sentimental pour moi. Le chef deux étoiles Michelin de son restaurant Le Pont de Brent ne peut être manqué en aucun cas.
Incontournable dans son calendrier culinaire, le premier week-end d’octobre vous permet de rendre hommage au patrimoine culinaire du festival. Sans dénaturer la séquence classique du menu, Stéphane Décotterd le fait toutefois évoluer au fil des ans : « Fournir une douzaine de services, le défi de maintenir l’ADN des plats et de les offrir sous forme de repas gastronomiques. Quoi qu’il en soit, je n’aurais jamais imaginé que le Bénichon ferait partie intégrante de ma carrière.
D’origine bourguignonne, Romain Paillereau grandit des milliers d’années avant cette célébration de Fribourg et pourtant le chef de la Pinte des Mossettes de Cerniat, étoilée au guide Michelin, ne peut pas manquer cet événement annuel : « J’ai temporairement appris son importance dans le cœur des habitants de la région. « par nécessité, le cuisinier devient temporairement un émissaire de la sélection en gardant l’air de maintenir le menu original.
Le temps d’un week-end, laissez vos pots gourmands au placard et sortez les pots classiques. Adieu poireau / persil assaisonné d’un ajout de gingembre et de noix de coco, le tout accompagné d’un crumble au cacao, bonjour gigot d’agneau à l’ail confit et son vin rouge. salade de carottes: « Nous cherchons à garder cette occasion conviviale en tapotant des assiettes au milieu de la table pour que chacun puisse se servir chez soi. Ce week-end ajuste ma vie culinaire et continue d’être un moment de partage glorieux. «
Il s’agit de communiquer sur le Bénichon sans mentionner Pierre-André Ayer et sa place pour manger Les Pérolles à Fribourg. Fervent défenseur des traditions régionales, l’ancien président des Grandes Tables de Suisse continue de se détrarer avec des cornes alpines et des meringues à double crème. Le festival est une transmission de valeurs intergénérationnelles. Il est très important pour moi de maintenir les traditions vivantes », se souvient le chef.
C’est avec une merveilleuse subtilité que « Pierrot », pour l’intime, peaufine élégamment son menu, dans le respect des coutumes culinaires. Après de mini bretzels et beignets au gruyère vieilli, c’est l’élixir de queue de taureau parfumé à la livéche et son agneloti au foie gras coupé en dés à la brunoise qui ouvre la boule d’un menu coloré. Et pour clore la danse, le maître de cérémonie propose une chaise d’agneau chandossel désossée et rôtie en croûte à la cuillère et ses brunoises de betteraves rouges : « Je lui donne le ton folklorique obligatoire pour que les convives se sentent chez eux. »
Petit-fils d’un restaurateur, fils d’un marchand de vin, diplômé de l’Ecole d’Hôtel de Lausanne, chroniqueur gastronomique du journal Le Temps et ma page en ligne Amoiel. ch, épicurien, aussi gourmand que gourmand, hédoniste, poète. . . concept d’écriture sur la gastronomie évident pour moi.
Mon but est avant tout de mettre en valeur et de présenter aux chefs, restaurateurs, fabricants et créateurs qui donnent leur cadre et leur âme à leur métier.
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