A Reims, les restaurateurs vivent dans l’incertitude: « Le plus dur, c’est de ne pas s’assigner »

Les restaurateurs de la place d’Erlon ont frappé leurs casseroles et leurs casseroles le vendredi 2 octobre, répondant au slogan du chef des médias Philippe Etchebest : si tout le monde a suivi le mouvement, ils regrettent le manque d’anticipation et d’attention à leur sort face aux Covidés-19.

J’ai perdu 80 000 euros en trois mois. Je ne peux pas vendre, parce que qui mettrait de l’argent dans un endroit pour manger aujourd’hui ?

Cyprien Paleni, del Speakeasy Bootlegger.

Le composant le plus difficile est de ne pas vous attribuer. On ne peut pas savoir ce qu’on va faire le lendemain. Nous ne pouvons pas commencer par financer la terrasse, nous n’avançons rien parce que financièrement, c’est impossible.

Véronique Duguet, de la pizzeria bezannes.

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