Patrimoine: La Marcillé-Robert Minoterie renaîtra de ses cendres

En arrivant dans le village de Marcillé-Robert, vous ne pouvez pas manquer cette construction en pierre gigantesque, du XIVe siècle, détruite d’une manière composite qui se reflète dans l’étang. C’est La Minoterie, ça a marché jusqu’en 1979. Alfred Chevalier a acheté la construction en 1980 pour faire une boîte de nuit. « Des générations de jeunes et de moins jeunes ont dansé dans le domaine ici », explique Arlette Gouzalec, membre de l’agence La Minoterie. Dans ce petit village de 959 habitants, la Minoterie fait partie du paysage.

La boîte de nuit a remplacé son appel à plusieurs reprises : La Cascade, Nirvana, Le Moulin ou Le Drakkar, tous populaires dans la vie nocturne. Avec son changement, une nouvelle décoration, jusqu’à la nuit du 7 mars 2013. Une cheminée violente a détruit le site. Une vraie désolation. Dans le village, vous pouvez sentir l’odeur de fumée plusieurs semaines plus tard. Ça sent toujours la fumée.

Le monument chargé d’histoire est tombé en mauvais état et est tombé dans l’oubli , « le maire peut-être en attente d’un coup de vent lourd pour mettre l’excavatrice en elle. Mais c’est sans la détermination d’une poignée de la population de Marcillé-Robert. Cinq ans plus tard, ils avaient un concept fou pour commencer à rénover le moulin à farine.

D’abord, deux couples, Jordan Courtigné, Adeline Grégoire, Vincent et Arlette Segonzac, un peu plus déterminés, que les autres, à acheter le terrain pour en faire un poste d’assemblage et d’échange, était en novembre 2018. Le budget de 30. 000 euros est collecté et un CSI est formé. « Les peintures de nettoyage commencent par des amis, des bénévoles, des habitants, des personnes âgées et des jeunes. »Une vraie peinture de réseau est en cours de création.

A partir de février 2019, chaque samedi est réservé au Moulin, « parfois au détriment de nos propres maisons. Mais c’est une valeur », dit Melissa, qui est membre depuis le début de l’aventure.

C’est la première phase du projet. Nous voulons faire de la transparence. Classez les déchets. Vendez-les à certains et jetez-les pour d’autres. Les agriculteurs prêtent des tracteurs, des entrepreneurs en position de machine. La solidarité est en difficulté.

En septembre 2020, le nettoyage a été achevé, les espaces sont délimités et sécurisés. Pour célébrer cela, la Minoterie organise sa première exposition en partenariat avec la rue des Arts. « ne exposition qui a été très réussie. Nous sommes fiers de montrer ce que nous avions fait.

Ce niveau de la structure n’était pas très cher, « il a fallu de l’énergie et du temps, nous avons fait un peu d’argent en revendant le te, permis d’acheter des linteaux de fenêtre ».

Nous devons maintenant localiser les subventions pour continuer. Les fenêtres, le toit . . . Tout est à faire. C’est le début de la deuxième phase. Pour ce faire, le personnel vient de créer une association, qui compte une soixantaine de membres, qui a également acheté le bâtiment sur un bail emphytéotique.

L’objectif est de réhabiliter les 3 premières chambres, jusqu’en 2025, pour faire un bar et une salle à manger sur le plan économique. « Pour aller jusqu’au bout, nous voulons des aides financières ou matérielles. »

Laurent Divay, le maire de la commune apprécie et soutient le projet : « Les autres personnes dans l’arrangement aimeraient que le corridor de la ville achète le site. Nous ne nous opposons pas, mais pour l’instant nous avons d’autres priorités. commune, nous n’avons pas de budgets géants.

L’équipe est très motivée,  » on ne sait pas où ça va nous mener, mais la route est belle «.

La Minoterie, Le Bas du Tertre, 35240 Marcillé-Robert. La prochaine structure aura lieu le 10 octobre.

Site Web : infos@laminoterie. bzh

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