« V. Legal_Text_Title »
ttt t
« +v.legal_text_title+ »
Il y a eu une erreur: « t »
Vous obtiendrez une confirmation dans un instant.
D’après les derniers chiffres de Santé Publique France, 1 924 cas de toxi-infections alimentaires collectives ont été déclarées en France en 2022, affectant 16 763 personnes. 643 se sont présentées à l’hôpital, et 17 sont décédées. Pour les personnes vulnérables, notamment les plus âgées, ces infections peuvent être très graves.
Les scientifiques ont testé le microbiome de 12 000 autres personnes de quarante-cinq pays. Ses effets montrent que la présence d’un type spécifique de bactéries intestinales, appelée feecalibacterium, joue un rôle dans la prévention de l’intoxication alimentaire.
Ces bactéries protectrices attaquent certains des microbes coupables de troubles digestifs, ajoutant des bactéries dans l’organisation des entérobactéries, comme Shigella et E. Coli. Ces derniers sont connus pour provoquer des symptômes allant de la douleur abdominale à une diarrhée sévère.
Le docteur Alexandre Almeida, auteur principal de l’étude, explique : « En mangeant des fibres dans des aliments comme les légumes, les haricots et les céréales complètes, nous pouvons fournir la matière première à nos bactéries intestinales pour produire des acides gras à chaîne courte, qui nous protègent de ces microbes pathogènes. »
« Avec des taux plus élevés de résistance aux antibiotiques, nous avons moins de remèdes à avoir nous-mêmes », poursuit-il. « La technique la plus productive aujourd’hui est de vous sauver les infections, et nous pouvons le faire en réduisant les possibilités pour ces bactéries pathogènes de se développer dans notre intestin. »
Le Dr Qi Yin, co-auteur de l’examen, souligne que cette technique incorporée est essentielle: « Cet examen met en évidence l’importance de la lecture des agents pathogènes comme isolés, mais dans le contexte de son microbiome intestinal environnant. «
Les fibres sont un composant essentiel des aliments végétaux que notre intestin grêle ne peut pas digérer. Ils réussissent dans le gros intestin, où ils vous aident non seulement à sauver la constipation, mais aussi un microbiome sain.