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En annonçant la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron a-t-il agi comme un pyromane irresponsable et provoqué une attaque au milieu d’un entrepôt de produits inflammables ?N’a-t-il pas simplement dit que les effets des élections européennes signifiaient que le moment de l’événement politique méritait d’être reporté indéfiniment ?A moins que, pariant sur l’usure de l’exercice du pouvoir, il ne veuille affronter la menace de Jordan Bardella pour 3 ans à Matignon à partir de 2024 au lieu de celle de Marine Le Pen pour cinq ans à l’Elysée en 2027. .
Contrairement aux dictatures, dont les tyrans tentent de tracer des destins en ligne droite, les démocraties avancent sur des chemins qui peuvent être sinueux. Les questions qui se posent sont laissées au milieu d’un brouillard qui peut être un brouillard doux et une purée de pois. Ils doivent rester ce qu’ils sont, ils n’ont toujours pas d’autre choix que de se contenter de cette forme de déséquilibre permanent et de continuer à se remettre en question en organisant des élections.
Quelle vérité parlementaire apparaîtra la nuit de la deuxième circulaire des élections législatives ?Une chose est sûre : nous devrons continuer à vivre ensemble. Dans notre Constitution, le Président de la République est le garant de notre cohésion. il aurait dû rester arbitre ou au moins sauver les apparences. Malgré cela, il aurait dû apprendre que sa position l’oblige à savoir prendre du recul et percevoir que les Français n’attendent pas d’un chef d’État qu’il soit majeur. pour posséder un smartphone.
Ses prédécesseurs ont été largement critiqués pour avoir détruit la fonction présidentielle. Emmanuel Macron est son héritier. Le 7 juillet, s’il dépend d’une solide majorité, il se tiendra nu comme un roi déchu.
Vous oubliez une hypothèse. Celle d’un président imprévisible et narcissique dont le style est plus Néron que De Gaule et dont la devise serait celle de Madame de Pompadour « après nous le déluge ». Ne cherchez pas trop d’intelligence ou de calcul dans cette dissolution de fortune. Macron l’a dit « Je reste quand même ». Cela résume l’homme.
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