Gatineau ajoute une taxe d’immatriculation pour financer le transport en commun

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Une demande d’origine déposée mardi au tribunal de Québec.

Il a également participé à plusieurs séries telles que Watatatow, Fortier, Toute los angeles vérité et 30 vies.

Jeudi dernier, lors de son débat avec Donald Trump, le président américain a donné l’impression d’être très confus.

Cette actualité liée aux réseaux de désinformation russes a été vue des millions de fois sur X.

Les manifestants ont jusqu’à mercredi à 18 heures. d’enlever leurs tentes et de quitter les lieux.

La commission des finances va examiner cela pour faire des recommandations [. . . ] et voir ce que nous faisons, combien, comment nous l’appliquons et quel est le point de complaisance du conseil », a expliqué la mairesse de Gatineau, France Bélisle, qui, au passage, était en faveur de cette mesure.

Après la publication de cet article, France Bélisle a démissionné de son poste de mairesse. Les déclarations sur la taxe d’immatriculation proviennent d’une conférence de presse qui a eu lieu mercredi matin.

Les élus de la ville de Gatineau ont voté à l’unanimité mardi pour demander aux responsables d’entamer des discussions avec la Société de l’assurance car du Québec (SAAQ) en vue de l’introduction de cette taxe. , qui pourrait entrer en vigueur l’année prochaine.

Depuis le début de l’année, les villes québécoises ont été contraintes d’imposer une taxe supplémentaire sur les immatriculations pour mieux financer les transports en commun.

Cette taxe avait été demandée par plusieurs maires de la province. Le gouvernement du Québec a fixé un plafond.

Nous avions jusqu’à la fin mars pour communiquer notre intention au gouvernement du Québec, alors nous n’avions pas à manquer l’occasion », a expliqué le maire de Gatineau. Si nous ne progressons pas en disant cela, nous finirons par un an, un tour, c’est pourquoi il est vital de le faire.

Bélisle précise que chaque ville du Québec peut déduire le montant qu’elle désire déduire. Le montant qui sera perçu à Gatineau ne sera pas nécessairement le même qu’à Montréal, où les automobilistes se sont récemment vu imposer des frais d’inscription de 59 $.

Si France Bélisle sait à ce stade quel sera le montant de cette taxe, elle sait que l’argent sera réinjecté dans les transports en commun.

Maintenant, comment ce montant sera-t-il alloué aux transports publics, c’est-à-dire : sera-t-il utilisé pour compenser ce que le conseil municipal injecte ou sera-t-il un excédent ?Je pense que ce sera une discussion souhaitable du conseil municipal », a-t-il déclaré. en riant.

Le président-directeur général de MOBI-O, Patrick Robert-Meunier, a rappelé que les automobilistes versent déjà une contribution de 30 $ au transport collectif depuis 1992. Cette contribution n’a jamais été indexée, souligne-t-il. Donc, de notre point de vue, il s’agit d’une nouvelle taxe. En fait, nous ne faisons que compenser le manque à gagner qui s’est créé au fil du temps en indexant cette contribution.

On le sait, le transport public est un service public intelligent qui n’est pas rentable », a déclaré M. Robert-Meunier. Par conséquent, nous investissons avec cette contribution.

Nous voulons des mécanismes comme celui-ci, de contribution, pour compenser la charge pour la société lorsqu’un utilisateur choisit d’utiliser une voiture.

Patrick Robert-Meunier a qualifié cette nouvelle taxe d’inévitable et d’incontournable.

Je sais que pour d’autres personnes, c’est comme si on leur faisait payer plus », a-t-il poursuivi. Mais la vérité est qu’à l’heure actuelle, d’autres personnes qui prennent leur voiture ne paient pas le coût réel de la possession d’une voiture pour la société. dans son ensemble.

Les routes ne sont pas payées et, souvent, le stationnement est faible. La vérité est qu’il n’y a pas d’éducation laxiste. Il y a ceux qui paieront pour cette infrastructure », a-t-il insisté.

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