Ukraine et Russie « vont devoir faire des concessions », estime l’émissaire américain

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Objectifs de réaction canadiens conçus par le biais des principaux États républicains.

« Je vais communiquer avec le premier ministre Trudeau Morning », a déclaré le président américain dimanche.

Le Canada a annoncé qu’il va contester la mesure devant l’Organisation mondiale du commerce.

L’annonce des tarifs douaniers sur les produits canadiens est une réaction au Saguenay-Lac-Saint-Jean.

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Les deux camps devront faire des concessions. C’est ainsi que les népastiations fonctionnent, et je pense que les deux parties feront des concessions, a déclaré l’émissaire désigné par Donald Trump sur la chaîne de nouvelles de Fox. Il peut passer d’une manière ou d’une autre.

« Il est de notre intérêt, soit ici aux États-Unis et à l’étranger, de terminer le conflit d’environ trois ans », a déclaré Kellogg.

Et je pense que le président Trump est la seule personne capable d’y parvenir. J’ai bon espoir que ça fonctionnera.

Le seul utilisateur avec qui Poutine est en mesure de discuter de la façon dont il a déprécié les autres dirigeants, est le président Trump, a déclaré l’ancien général octogénaire.

Nous allons avoir des discussions avec tout le monde, et après, probablement dans un futur proche, trouver le moyen de mettre fin à ce conflit. Et c’est une bonne chose pour les deux parties, a-t-il encore affirmé.

La possibilité de négociations entre Moscou et Kiev est discutée depuis que Donald Trump revient à la Maison Blanche, perçu comme un tournant possible de la guerre.

Le président américain a critiqué les sommes dépensées par les États-Unis pour aider l’Ukraine, mais il a aussi adopté un ton sévère avec Moscou, qu’il a menacée de sanctions supplémentaires.

Le président russe Vladimir Poutine s’est dit prêt, le mois dernier, à des discussions avec l’Ukraine, mais pas avec Volodymyr Zelensky, qu’il a qualifié d’illégitime. Ce n’est pas à lui de décider, a répondu l’émissaire américain dimanche.

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