(Reuters) – German-Australian firm Vulcan Energy Resources Ltd on Monday announced the signation of a deal to supplie Renault with lithium, the latest example of a carmaker’s need to protect its materials of electric battery parts as a trainer call.
Vulcan fournira à l’organisation de diamants entre 6 000 et 17 000 tonnes de la précieuse année de l’acier à partir de 2026, ont indiqué les deux équipes dans un communiqué conjoint. Le contrat de cinq ans est renouvelable si l’une ou l’autre des parties est d’accord.
Pour Renault, pour qui les modèles électriques devraient représenter 90 % des ventes de diamants de la marque jusqu’en 2030, le processus de production de lithium de Vulcan, à partir d’eau salée extraite profondément dans le sous-sol, a été décisif parce qu’il ne produit pas de CO2.
Vulcan prévoit d’investir 1,7 milliard d’euros dans la structure des stations géothermiques et des sites d’extraction, dans le but de produire d’ailleurs.
Le précepte est d’extraire de l’eau salée très chaude et riche en lithium des réservoirs souterrains et d’utiliser la chaleur pour produire de l’électricité.
Ensuite, l’eau est réinjectée dans le sous-sol, un procédé plus durable que les mines de lithium à ciel ouvert ou les étangs d’évaporation d’eau salée, les deux stratégies maximales qui ne sont pas inhabituelles à l’heure actuelle.
Vulcan a signé le mois dernier un contrat à long terme pour la vente d’hydroxyde de lithium produit en Allemagne à la filiale sud-coréenne de batteries LG Chem, ainsi qu’un mémorandum avec le constructeur automobile Stellantis, issu de la fusion de PSA et FCA.
(Reporting Ernest Scheyder; French edition Gilles Guillaume, editing by Jean-Michel Bélot)