De nouveaux investissements dans le dépistage décentralisé feront en sorte que le VIH ne soit plus un défi de santé publique avant 2030.
MONTRÉAL, le 1 août 2022 /CNW Telbec/ – Agence de la santé publique du Canada
Nous savons qu’environ 63 000 autres personnes vivent avec le VIH au Canada ces derniers temps et que 10 % d’entre elles n’ont pas reçu de diagnostic. Malgré les efforts continus pour inspirer le dépistage, des obstacles systémiques à l’accès au dépistage du VIH subsistent, ajoutant de la stigmatisation et de la discrimination dans les soins de condition physique. C’est pourquoi notre gouvernement fait de nouveaux investissements dans le dépistage décentralisé afin d’éliminer le VIH en tant que facteur de condition physique du public jusqu’en 2030.
Aujourd’hui, à l’occasion de la 24e Conférence internationale sur le sida, à l’occasion de la 24e Conférence internationale sur le sida, l’honorable Jean-Yves Duclos, ministre de la Santé du Canada, a annoncé un total de 17,9 millions de dollars pour la distribution de trousses d’autodépistage du VIH et d’autres stratégies de dépistage du VIH auxquelles les gens au pays auront accès. populations maximales touchées par le VIH. ajout d’autres personnes vivant dans des communautés nordiques, éloignées ou éloignées (NIS).
Les efforts des organisations communautaires sont fondamentaux pour lutter contre le VIH et atteindre les populations les plus touchées par le VIH dans le pays. Il s’agit notamment des populations autochtones, africaines, caribéennes et noires, ainsi que de la communauté LGBTQ2, d’autres personnes d’autres pays. là où le VIH est endémique, d’autres consommateurs de drogues injectables et d’autres personnes qui vendent, échangent ou achètent des services sexuels. C’est pourquoi 8 millions de dollars de cet investissement serviront à obtenir des trousses d’autotest et à aider les organismes communautaires, y compris les organismes autochtones, à rendre les tests plus largement disponibles parmi les populations desservies par leurs organismes. Les kits d’autotest du VIH sont un moyen sûr, fiable et confidentiel de dépister les infections, tout en éliminant notamment les obstacles à la recherche de soins causés par la stigmatisation et la discrimination.
Par l’entremise du Laboratoire national de microbiologie (LNM), le Canada investira également 9,9 millions de dollars supplémentaires pour étendre les projets de dépistage communautaire dans les collectivités des SNI. Le LNM sera également responsable de la formation, de la vérification et du suivi continu de la qualité de ces programmes communautaires de dépistage. Pour d’autres personnes vivant dans des communautés NIS, l’accès à des fonctionnalités de dépistage des maladies infectieuses appartenant à la communauté, gérées par la communauté et adaptées à la culture peut être essentiel pour améliorer leur santé globale. Grâce à ce financement, les organismes et les collectivités pourront acquérir des tests diagnostiques pour la sélection, la confirmation et la surveillance continue dans la collectivité; de cette façon, les échantillons peuvent être analysés sur place et n’ont pas besoin d’être envoyés ailleurs, ce qui accélère les diagnostics.
Pendant la pandémie, des centres de dépistage moléculaire de la COVID-19 ont été déployés dans des installations de conditionnement physique dans les collectivités des Premières Nations du Canada afin d’améliorer l’accès au dépistage et la rapidité des résultats. tester et remédier au manque de capacité de dépistage dans les communautés éloignées. En plus de l’investissement précédent, le Centre de contrôle des maladies de la Colombie-Britannique (BCMC) et la First Nations Health Authority (FNHA) recevront un investissement de 1,2 million de dollars annoncé aujourd’hui pour élargir les projets antérieurs et déterminer s’il est envisageable de détecter d’autres maladies infectieuses, en ajoutant les infections sexuellement transmissibles et transmissibles par le sang (STCC), virus respiratoire syncytial (VRS) et grippe.
Atteindre d’autres personnes qui n’ont pas reçu de diagnostic d’infection est la première étape pour y remédier et finalement atteindre une charge virale indétectable. En ce qui concerne le VIH, indétectable = non transférable (U = U). Le gouvernement du Canada est fier d’appuyer l’Appel à l’action U=U et encourage d’autres pays à se joindre au Canada et aux États-Unis pour appuyer ce message à l’occasion de l’émission SIDA 2022. Connaître l’appel à l’action U=U augmente l’acceptation du dépistage et des remèdes contre le VIH et nous rapproche de l’élimination du virus, contribuant ainsi à nos objectifs VIH 95-95-95 et à l’objectif externe de mettre fin au VIH et au sida en tant que facteur de santé publique d’ici 2030.
Ensemble, ces investissements fourniront un accès particulier au dépistage, permettront aux Américains et aux communautés d’évaluer leur santé et réduiront les obstacles à l’accès à des soins sans stigmatisation.
Guillemets
« Rendre les tests plus disponibles en les distribuant directement à d’autres personnes élimine les obstacles qui empêchent également d’autres personnes de se faire tester, de recevoir un traitement et de recevoir un traitement. Bien qu’il s’agisse d’une étape cruciale pour de nombreuses autres personnes touchées par le VIH, nous sommes conscients qu’il reste encore beaucoup à faire. »à faire. Ensemble, renouvelons notre engagement, adhérons à la science et ouvrons la voie à un monde sans VIH/sida. »
L’honorable Jean-Yves DuclosMinistre de la Santé
« Pour de nombreuses personnes, l’accès en temps opportun et culturellement approprié aux installations de dépistage et de traitement du VIH reste difficile, et la pandémie de COVID-19 n’a fait qu’exacerber ces défis. L’adoption de méthodes de détection de pointe, comme celles financées aujourd’hui, réduit les obstacles. liés aux méthodes traditionnelles. Veiller à ce que tout le monde ait accès à des interventions de dépistage et de traitement de maladies infectieuses comme le VIH est une priorité très raisonnable pour le gouvernement du Canada. »
L’honorable Carolyn BennettMinistre de la santé mentale et des dépendances
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SOURCE Agence de la santé publique du Canada