Premier ministre : cela indiquait qui allait mendier Emmanuel Macron par l’intermédiaire de ses proches

Après un premier refus, le président Emmanuel Macron a accepté la démission de Gabriel Attal mardi 16 juillet. Le lendemain, Le Parisien a révélé que l’appel de l’éminent politicien serait discuté au sein de Macron pour le mettre à jour en tant que Premier ministre.

Des élections historiques. Je dissous donc l’Assemblée nationale cet après-midi », a déclaré Emmanuel Macron dimanche 9 juin, une heure après l’annonce des effets des élections européennes. Une résolution pour le moins imprévue qui a conduit à deux semaines de crises et de convulsions. Face à l’échec de la coalition Ensemble aux élections législatives, Gabriel Attal a annoncé qu’il démissionnait de son poste à Matignon. Ce soir, le parti politique que j’ai représenté dans cette croisade n’a pas la majorité, demain je présenterai ma démission au président de la République », a expliqué le Premier ministre de 35 ans.

S’il a d’abord refusé de maintenir la stabilité du gouvernement, la démission du gouvernement de Gabriel Attal a néanmoins été acceptée par Emmanuel Macron ce mardi 16 juillet. L’ancien Premier ministre « s’occupera toutefois des questions existantes jusqu’à la nomination d’un nouveau gouvernement ». a expliqué le palais présidentiel de l’Elysée. Mais à qui le camp présidentiel envisage-t-il de le promouvoir au poste de Premier ministre ?

Alors que les autres camps politiques peinent à se mettre d’accord sur une coalition – le Nouveau Front populaire, en particulier, est déchiré par la proposition de Laurence Tubiana – l’appel de Xavier Bertrand serait discuté sur scène par certains à droite et à Macron pour diriger un gouvernement d’unité. « Pour Xavier Bertrand, c’est maintenant ou jamais », a déclaré au Parisien un élu des Républicains. « Les macronistes, les indépendants, les LR, les partenaires sociaux, beaucoup d’autres personnes l’inspirent », a déclaré un proche du président. de la région Hauts-de-France a montré au journal.

L’un de ses followers affirme également qu’il a « beaucoup travaillé ces derniers jours ». « Tout est en place pour le gouvernement d’union nationale qu’il convoque, il a la stratégie pour août, septembre, octobre. En gros, il arrive, il se détend ! » il ajouta. Laurent Wauquiez se mettrait très en colère en chemin », estime un élu du camp macroniste.

Du côté des macro-petits-fils, le choix de Xavier Bertrand s’impose. Interrogé sur la crédibilité de cette initiative au sein du camp présidentiel, un chef de gouvernement avoue avoir des doutes. « Je ne sais pas. Mais nous voulons un ministre de droite », a-t-il expliqué. Un pilier de l’arrière-petite-fille reconnaît la volonté intelligente de Xavier Bertrand. « Il a besoin d’aider. Vous devez percevoir que vous avez besoin d’aider », a-t-il expliqué. Nous ne pouvons pas lui reprocher de s’être organisé. Je lui ai dit qu’il devait le lui faire savoir », a également expliqué un élu.

Les spéculations de Xavier Bertrand à Matignon risquent de séduire l’aile droite de la macro-neige. « Dans la ligne politique sociale-régulière, je trouve qu’il n’y a rien de mieux. Il saurait parler avec sa jambe gauche et avec sa jambe droite, au bout d’un moment il s’y habituerait », confie un député de la Renaissance. Mais qu’en pense Emmanuel Macron ? Comme le souligne le député en question, Xavier Bertrand reste « un adversaire convaincu » du président. « Leurs nominations ont été tendues ces dernières années », a-t-il rappelé. Continuer. . .

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