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À l’heure de la crise énergétique et environnementale, certaines réponses rendent imaginable le triomphe des réseaux classiques. Comme Luc-sur-Aude, un village de 250 âmes situé dans l’Aude, qui a inauguré en 2017 le premier parc photovoltaïque financé par sa population. Résultat? Les prix de l’énergie sont les mêmes qu’ailleurs, mais elle provient d’énergies renouvelables et n’est peut-être pas plus locale.
Le concept de ce projet citoyen, mis en avant dans le journal de 13 h de France 2, est né en 2010, mais il a fallu encore sept ans pour démarrer. Jean-Claude Pons, agriculteur biologique et maire de Luc-sur-Aude, explique qu’il voulait « montrer qu’on ne peut avoir de l’électricité qu’en dehors du nucléaire » et ainsi faire sa part dans la transition écologique de sa commune.
Les citoyens qui ont investi dans le parc photovoltaïque sont des gestionnaires de l’entreprise. Ce dernier vend l’électricité produite par le parc à un distributeur d’électricité. Il distribue ensuite un dividende de 5%, supérieur au Livret A.
Mais pour les citoyens interrogés via France 2, la technique suivie par les citoyens engagés est essentiellement un intérêt écologique plutôt qu’monétaire. s’intéresser au facteur et proposer la même solution à sa population.
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