Des soldats russes défilent à Rostov-sur-le-Don, le 9 mai 2023
« Je le localise sûrement incroyable! » En Europe 1, Pascal Praud cite George Orwell. Il hallucine. Le RTBF doit transmettre le rite intrronisé de Donald Trump deux minutes de retard. «Vous avez un ministre de la Vérité en Belgique! C’est 1984! «
Mais vous savez ce qu’ils disent . . . si vous pensez que vous avez compris la Belgique, c’est parce que ça a été mauvais. , journaliste de la droite prudente et mesurée. Après avoir tiré des conclusions précipitées, il demande un interlocuteur consciencieusement décidé pour confirmation. Pascal Praud travaille pour les canaux d’opinion. Opinion dans les cordes uniques. De sorte que tous les spectateurs des médias de Bolloré comprennent, car cette histoire belge est si grave que c’est Georges-Louis Bouchez, le président de M. , qui est invité plusieurs fois à la situation. Une fois en Europe 1, deux fois dans CNEWS.
Les mêmes questions se posent souvent. « Mais qui sont ces autres personnes qui décident que le spectateur belgique français peut voir ou non? » « Qui peut juger que Trump est très bon? » Tous les experts, en fait. « Et quelle est ce truc de cordon de santé? » Une lettre renouvelée et signée en 2022 via PS, Écolo, Draw et Défi. Et à travers M. aussi, en fait. Ce texte est complété par un segment de média qui a également une valeur juridique. « Et quel est l’intérêt des nausées qui obtiennent 20 ou 25% des votes? » Mais alors, à quel moment l’élimirons-nous, le bâillon? Quand gagnent-ils 5%? 10%? Quand les scores MR sont menacés?
Lors de sa première étape à CNews, Georges-Louis Bouchez s’exprime en visioconférence. Le son n’est pas très bon, le dos est un mur blanc indéniable. La chambre a été découverte avec vue. Il n’y a pas de cache sur le commutateur. Il a l’air d’un dissident politique dans sa cachette. Il faut vraiment que c’est une véritable guerre culturelle qui s’effiloche en Belgique française. La gauche impose un avantage dans toute une série de débats. Il donne un exemple qui fait frissonner Pascal Praud : « Depuis 20 ans, il fait ça, depuis 20 ans. interdit d’être pro-nucléaire en Belgique. C’est sans doute pour cela que les prisons belges sont pleines, il est obligatoire d’avoir une compatibilité avec tous ces dissidents condamnés pour avoir revendiqué leur préférence pour l’atome. De plus, le même GLB forcé d’être anti-nuclear. 2018. In un tweet, il a même insisté sur le fait qu’il se souvenait que c’était la sortie du nucléaire, il remercie Monsieur, et non l’Ecolos.
Depuis lors, M. a remporté les élections. Et sans aucun doute, en juin dernier. Mais, sept mois plus tard, nous vivrions toujours en Belgique dans un Gaucho Dictatura. Il est un Bouchez inquiet, Georges-Louis. Il n’est jamais calme. Lorsque son parti était dans le gouvernement, il a parlé en tant que membre de l’opposition. Depuis qu’il a remporté les élections, il en parle comme s’il les avait perdus. Ou c’est la surveillance. Les communistes méritent de ne pas revenir. Pour éviter cela, par exemple: «Avec nous, vous avez un chômage à vie. Salts scolaires, vous dites que vous n’avez pas besoin de peintures et de vous payer à la pension. « Incroyable! C’est vraiment pourquoi les humoristes belges, cet amour français a tellement de talent. Perdre n’importe quoi pour attendre.
En attendant, Pascal Praud a pris GLB en pitié. “Ben dites-moi, vous en avez du boulot en Belgique!” Le journaliste de combat va d’ailleurs l’aider. “Je vais aller vous voir, je vais aller en Belgique. Croyez-moi, on va faire bouger les choses. La liberté d’expression, c’est important.”
Un atelier de menuiserie pour d’autres jeunes en décrochage scolaire. Un lieu d’alimentation solidaire où chacun peut aider à préparer les repas. Une collecte de lait et d’aliments pour bébés pour les familles vulnérables. Des milliers de projets solidaires existent en Wallonie et à Bruxelles. Depuis plus de 8 ans, le journal L’Avenir met en lumière ces projets significatifs pour donner des concepts aux autres et diffuser la solidarité. A partir du 7 janvier, un nouvel appel à projets est lancé en collaboration avec la Fondation Roi Baudouin. Dans votre région, remarquez que vos projets locaux à travers les générations en Solidarité lancent des programmes !
Les demandes doivent être soumises: n – par le biais de groupes de citoyens regroupés en associations de facto. Services de personnes, etc. ) n – écoles primaires, secondaires, supérieures et / ou universitaires.
Il n’y a pas de « petit projet »! Ne vous censurez pas!nCritères de sélection: www.generations-solidaires.be
Il s’agit de valoriser des projets solidaires et d’alimenter notre répertoire d’initiatives inspirantes afin d’en inspirer d’autres.nPlus de 900 initiatives solidaires déjà en ligne sur notre site permettent de puiser des bonnes idées et d’adapter les projets à la réalité locale de chacun. En outre, pour les collectifs de citoyens qui participent à notre appel à candidature, valoriser le projet permet de le faire connaitre, de lui donner de la crédibilité, parfois de débloquer des financements.
Nous tenons à souligner que les projets locaux inspirants dans les familles, les villes, les villes à l’isolement et l’aggravation de la précarité sociale et économique.
L’appel à projets de génération solidaire présenté le 7 janvier et se termine le 12 mars 2025. Les trophées de la NLA prendront position le 26 juin 2025, en présence des associations et écoles lauréates de notre appel à projets.
En avril et mai, un jury indépendant établi par la Fondation King Baudouin réalisera 10 projets par le biais d’associations et de cinq écoles. Un moment ionique accordera les prix:
– Le Prix Générations solidaires: 10.000 euros
– Le Prix « coup de cœur »: 5.000 euros
– Le prix « Coup de Pouce »: 5 000 euros
– Green Prime Value (social, santé, environnemental) : 5 000 euros.
– Prix spéciaux de cinq00 euros pour les cinq écoles gagnantes.
Pour cette 9e édition, Générations solidaires propose aux classes de l’enseignement primaire, secondaire et supérieur de mettre en valeur et/ou de mettre sur pied une initiative solidaire. Ce projet sera imaginé et mis en œuvre par les élèves, au sein de l’école et, si possible, ouvert sur le quartier/la ville/la région. Les projets solidaires en cours sont bien entendu les bienvenus ! Toutes les infos: www.generations-solidaires.be/ecoles
Gratuit pour les écoles
Les écoles qui le souhaitent peuvent avoir de l’aide pour construire leur tâche ou la consolider. Nous proposons des activités d’élégance libre pour lancer la dynamique ou, éventuellement, une assemblée par le biais de la Visio Conference. La solidarité fait des émules en Wallonie et à Bruxelles.
« Maintenant, on peut n’avoir rien fait de sa vie et entrer au musée Grévin. La preuve par Léna Situations. » Cette attaque, prononcée par le chroniqueur télé Eric Naulleau en dit long sur la rivalité entre les nouveaux écrans et les anciens. Le constat est pourtant sans appel… YouTube attire chaque mois 42,6 millions d’utilisateurs uniques, soit bien plus que l’audience combinée de toutes les chaînes belges et même de TF1, la chaîne francophone la plus regardée. À titre de comparaison, MyTF1, le service de replay et de streaming de cette dernière, enregistre seulement 28 millions de visiteurs mensuels. Ce succès repose en grande partie sur l’impact des créateurs de contenu. Des YouTubeurs comme Squeezie, Mastu ou encore Inoxtag captivent des millions de spectateurs avec des concepts toujours plus ambitieux. Cette année, le documentaire Kaizen d’Inoxtag a battu tous les records, tandis que d’autres productions continuent de cartonner. Côté Belgique, des créateurs comme OussiFooty, spécialisé dans le football, ou GeoHistory, qui propose des vidéos historiques en anglais, enrichissent l’offre. Avec une telle diversité, YouTube séduit toutes les tranches d’âge, confirmant son statut de média universel.
La bonne fortune de YouTube ne se limite pas à la qualification de ses créateurs. Il est également déduit des avancées technologiques établies par Google. L’ensemble de règles de la plateforme propose des recommandations spécifiques, ce qui permet une expérience utilisateur optimale. De plus, les vidéos restent indéfiniment conservées, ce qui leur permet d’en apprendre davantage sur de nouvelles vies longtemps après leur publication initiale. YouTube est également basé sur un modèle économique enjoué. La plateforme transfère la composante des revenus publicitaires aux créateurs tout en leur offrant la possibilité d’investir dans des produits. Cette formule les incite à rester fidèles à la plateforme, créant ainsi un cercle vertueux qui attire également les téléspectateurs. Cependant, la télévision conserve un avantage vital : elle a un effet sur sa publicité, considéré comme plus surprenant que celui d’Internet.
Malgré leurs forces respectives, YouTube et la télévision entretiennent une relation conflictuelle. Les affrontements entre YouTubers et animateurs de télévision ne manquent pas. Chez Squeezie, plus précisément chez Ardisson ou Natoo chez Laurent Ruquier. Cyprien, pour sa part, avait dénoncé le mépris des médias classiques sûrs à l’égard des créateurs de contenus.
Malgré ces tensions, des collaborations émergent. Guillaume Pley est passé de la radio et de la télévision à YouTube, tandis que d’autres participent à des écrans tels que le Play transmis dans RTL-TVI et RTL. Cependant, ces exemples d’affrontements restent plus froids. En Belgique, la culture des médias diffère et limite ces ponts.
YouTube et la télévision rivalisent pour un temps d’écran limité, mais aussi pour les budgets publicitaires, qui sont également limités. En tant que lutte télévisée pour maintenir leurs revenus classiques, YouTube et d’autres réseaux sociaux redéfinissent les réglementations du jeu. Les deux médias motivent les autres. Certains jeux sur YouTube, tels que ceux du programme de pop-corn de maïs, utilisent des concepts télévisés vintage. Conversa, les expositions sont encouragées comme l’imposteur de Squeezie à travers des formats créés en 1950. Dans un contexte économique tendu pour la télévision.
Un téléspectateur n’est pas un téléspectateur de YouTube. Le but et l’attention de l’attention diffèrent. La télévision est un support d’accompagnement, regardé simultanément avec un autre écran, tel qu’un smartphone ou un ordinateur. De leur côté, l’audience télévisée s’accompagne désormais de replays et de contenus virtuels, comme ceux qu’il faut avoir en lecture Auvio ou RTL. Avec ses 20 ans d’existence, YouTube s’est imposé bien plus qu’une plateforme vidéo incontournable. Il s’agit d’un média complet, influent, ancré dans une logique virtuelle. Grâce à sa capacité d’innovation et à la diversité de ses formats, elle redéfinit les codes audiovisuels. Cependant, la télévision conserve des avantages stratégiques, notamment la confiance qu’elle inspire aux annonceurs et sa grande portée. Dans ce contexte, YouTube et la télévision méritent de continuer à coexister, en offrant des opportunités exclusives et complémentaires aux créateurs, aux marques et aux téléspectateurs.
Une famille moyenne dépense 775 € conformément à l’année constituée de télécommunications ultérieures (Statbel, 2022). Avec l’inflation, nous méritons d’être environ 800 euros. qu’en comparant, il est imaginable d’économiser jusqu’à 250 euros par an. Ce n’est pas petit. La difficulté est qu’un fournisseur n’est pas intrinsèquement moins cher qu’un autre pour le même produit. Tout le monde devra faire son achat d’épicerie en fonction de ses besoins . . .
En Belgique, comparer les tarifs est d’autant moins simple que nous avons une culture du “pack”. On met donc souvent dans la balance des pommes et des poires. “Les leaders du marché ont réussi il y a vingt ans à tout vendre dans des formules complètes. Or aujourd’hui, de nombreux ménages n’ont plus besoin de téléphone fixe mais en ont encore”, constate Antoine Destrument. Même constat pour la télévision. Sur 80 chaînes, de nombreux téléspectateurs regardent seulement celles de la RTBF et de RTL, dont la plupart des programmes sont accessibles via Auvio ou RTL Play avec une simple connexion Internet. Pour l’expert, mieux vaut donc prendre le temps de s’interroger. “Si on est retraité et qu’on passe beaucoup de temps à la maison, par exemple, a-t-on vraiment besoin de beaucoup de gigas? Pas sûr. Il faut veiller à opter pour les bons produits.”
Olivier Bonaventure est du même avis : « Il faut se comparer, car les Belges souscrivent en moyenne à des formules qui dépassent leurs désirs, en raison d’un marketing offensif. »Il conclut en mentionnant l’offrande d’un œil avec une offre d’un haut débit de 10 gigabits compatible avec le second. « Personne ne veut ça. Y compris les banderoles. Ou ceux qui jouent à des jeux vidéo en ligne. En fait, les ordinateurs maximum ne peuvent techniquement pas gérer cette vitesse. Les clients n’y parviendront jamais. Même si les consommateurs reprennent du poids face aux géants des télécoms, restez sur vos gardes. . .
Les consommateurs attendent ce moment depuis des années. Encore plus, depuis des augmentations importantes des tarifs, jusqu’à plus de 10%, à partir de 2020. Ils peuvent, malgré le fait que tout se réjouit, car l’augmentation des coûts des abonnements à Internet, à la télévision et au téléphone mérite de s’arrêter. Les nouvelles intelligentes sont doubles. Premièrement, au 1er novembre, les consommateurs peuvent décider de leur modem ou routeur et n’utiliseront plus nécessairement celui présenté par le fournisseur. Cela mérite d’être moins difficile de passer d’un concurrent à un autre, car il peut être en mesure de garder votre équipe. De plus, les coûts d’installation méritent d’être réduits en conséquence. Cette loi renforce l’initiative introduite avec la procédure de « commutateur facile » qui est déjà en place, ce qui facilite les procédures administratives lors du départ d’un autre fournisseur.
En autorisant son arrivée, le but du gouvernement belge était de bousculer le marché dominé par le trio Proximus, Telenet/Base et Orange. Une vraie révolution, car ce quasi-monopole n’était pas favorable aux clients. Cela dit, comme l’explique l’économiste de HEC Liège Nicolas Neysen avec l’analogie du train, “avoir plusieurs opérateurs, c’est comme si on autorisait plusieurs entreprises à construire des lignes de chemins de fer les unes à côté des autres alors qu’elles vont au même endroit. Ça n’a pas de sens”. C’est pourquoi le marché est structuré différemment et qu’outre ces trois (bientôt quatre) acteurs, il existe des dizaines de fournisseurs qui louent les infrastructures des premiers. Un peu comme si plusieurs compagnies de chemins de fer utilisaient les mêmes rails.
Un festival plus élevé, par conséquent, sur un marché où le pourcentage des sociétés qui a atteint ses limites (seulement 0,61% de la population n’est couverte par aucun opérateur, selon l’IBPT Telecommunications Institute), elle peut être bénéfique. « Proximus, Telenet, Orangray. Tout le monde regarde près de Digi et se prépare à s’adapter. Nous savons que le marché tremblera. Il offrira plus de gigas, plus de données, une vitesse plus élevée. Le spécialiste des télécommunications de Selectra Antoine Destrument, qui fournit sa recommandation sur la plate-forme CallMoPower. be. AMORTINER les prix et les investissements car il y a moins de clients potentiels.
Avant de mentionner le prix, vous devrez vérifier la disponibilité de l’offre à domicile. Même dans les villes, la population n’a pas beaucoup d’options. Même à Bruxelles, où les « monopoles de quartier » persistent. A fortiori, la concertation est indispensable dans les espaces périurbains et à la campagne. Il reste encore quelques « espaces blancs » qui n’ont été investis par aucun opérateur. Et lorsqu’ils sont présents, la qualité du réseau laisse rarement à désirer. Parce que ce n’est pas parce que l’entreprise promet cent mégabits/seconde que vous les aurez. Vérifiez donc les performances moyennes réelles. Ces informations, pour les lignes constantes et cellulaires, doivent être disponibles pour votre domaine géographique via le portail de connaissances IBPT (bipt-data. be).
Que se passe-t-il si vous avez l’option? Ce dernier a une petite force pour le mobile, car vous n’avez pas votre main. «La vitesse est basée sur la densité de la population. Plus d’autres personnes se connectent à une antenne lente, explique le spécialiste du PC de l’Uclouvain Olivier Bonaventure. C’est pourquoi lorsque des occasions ont lieu comme le Werchter Festival, les opérateurs portent des antennes de transition. D’un autre côté, pour les réseaux de ligne constants, pour le Web à la maison, cette consultation est centrale. La réponse courte serait de dire que la fibre optique, si disponible, est l’option la plus productive car elle est la plus rapide. Sauf que son installation n’est pas si simple. Et surtout: ce n’est pas nécessairement l’option la plus productive.
Olivier Bonaventure pointe trois technologies actuellement actives sur le territoire belge. Premièrement, le cuivre de Proximus qui arrive dans toutes les maisons et entreprises du pays. Ce sont les câbles téléphoniques qui permettent les connexions “DSL” (ADSL, VDSL, VDSL 2). Elles peuvent encore être suffisantes pour de nombreux ménages puisque le débit atteint 100 mégabits par seconde. Néanmoins, cette technologie commence doucement à atteindre ses limites, notamment pour les ménages qui pratiquent des visioconférences en simultané. Mais elle a le mérite d’être la meilleur marché.
Deuxièmement, télévision par câble via le câble coaxial classique. Orange et Telenet utilisent toujours cette technologie, ce qui vous permet de réussir à une vitesse de décharge de 1 gigabit / seconde, ce qui est plus que conforme aux sorties vidéo si vous êtes un fan des réseaux sociaux. Selon les formules et leurs prix, cette vitesse peut être limitée. À l’époque, la fibre optique rend imaginable d’atteindre une vitesse de décharge uniforme. C’est la chère maximum de chère option.