Des milliers de personnes honorent la mémoire des patients et des survivants des détenus.
Voilà qui conclut notre politique sur la Journée nationale de vérité et réconciliation. Merci d’être ici.
Pour ne rien manquer, vous pouvez également consulter notre historique dédié à cet événement.
Bonne nuit!
Partout au pays, les Canadiens se sont joints samedi à l’oppression systémique des peuples autochtones et ont célébré la 3e Journée nationale de la vérité et de la réconciliation.
Des survivants des pensionnats indiens et des dirigeants autochtones figuraient parmi les nombreuses personnes qui se sont rassemblées sur la Colline du Parlement pour participer à cet événement commémoratif.
En plus du rite national à Ottawa, des activités étaient également prévues à Montréal, Victoria, Winnipeg et Toronto, entre autres.
Le premier ministre Justin Trudeau, qui est en Saskatchewan pour souligner cette journée spéciale, a déclaré que le 30 septembre sera l’occasion de prêter attention aux survivants.
La réconciliation n’est pas le devoir des peuples autochtones, mais c’est le devoir des deux. Il est de notre devoir de donner une voix aux Premières Nations, aux Inuits et aux Métis, de prêter attention à leurs histoires et d’en être informés », a-t-il déclaré. .
À l’occasion de la Journée nationale de vérité et réconciliation, les Innus de Uashat mak Mani-utenam saluent l’initiative du Dr Stanley Vollant et des participants à la marche Mamu Nikantetau pour les actes et la réconciliation.
Après 305 kilomètres de marche, en commençant par le réseau innu de Pessamit, les participants, malgré tout, ont atteint leur destination : le site de l’ancien pensionnat Notre-Dame situé à Mani-utenam.
Au Manitoba, les électeurs autochtones demandent aux politiciens en croisade de ne pas limiter leurs promesses de réconciliation aux fouilles nécessaires au site d’enfouissement de Prairie Green, dans la région de Winnipeg.
Les groupes autochtones exhortent les politiciens depuis plusieurs mois à prendre des mesures concrètes pour permettre la recherche de deux victimes d’un présumé tueur en série.
Les électeurs autochtones disent que les échanges et les promesses de croisade se sont largement concentrés sur cela, et à juste titre, mais que la réconciliation va beaucoup plus loin.
La journée a été consacrée à la contemplation par beaucoup d’autres aujourd’hui, mais le réseau mohawk de Kahnawake honore ses survivants différemment : en leur dédiant un anniversaire.
Une fête a été organisée pour les enfants dans les internats. Le réseau s’est donc mobilisé pour rattraper le temps perdu. Indigenous Spaces a assisté aux festivités.
Une marée orange circule dans les rues de Montréal samedi après-midi dans le cadre d’une marche pour la Journée internationale de la vérité et de la réconciliation.
J’espère que le grand public comprendra que nous sommes ici pour parler d’une époque terrible de l’histoire du Canada, de la façon dont le Canada a traité les Autochtones. C’est une période sombre, et si nous n’apprenons rien de notre passé, nous allons le répéter », a déclaré Ann Deer, membre du conseil d’administration de Résilience Montréal, qui a organisé la marche avec le Refuge pour femmes autochtones de Montréal.
Alors qu’il était dans le réseau de Lac La Ronge, en Saskatchewan, le premier ministre Justin Trudeau a livré un plaidoyer passionné sur l’importance de ne pas être des faits et de la réconciliation et les effets des pensionnats indiens comme des faits anciens de l’au-delà, mais comme un phénomène qui se fait encore sentir concrètement aujourd’hui.
Qu’il s’agisse de dépendances, de cycles de pauvreté ou de marginalisation, tout cela est le résultat de politiques planifiées par les gouvernements provinciaux et canadiens, a-t-il déclaré. C’est pourquoi de plus en plus d’entre nous à travers le pays se rassemblent pour reconnaître que ce n’est pas seulement une composante de notre vie après la mort, mais aussi du présent, sans aucun doute.
Ne laissez personne vous dire que la réconciliation est seulement une affaire de peuples autochtones et de gouvernement. La réconciliation est le devoir de chaque utilisateur vivant sur l’île de la Tortue aujourd’hui », a ajouté le Premier ministre.
En prenant la parole, la gouverneure générale du Canada voulait expliquer ce que la réconciliation signifie pour elle. C’est une question assez complexe, a-t-il dit tout d’abord, parce que les survivants ont leurs propres rapports et doivent guérir à leur propre rythme [. . . ], et il y a des degrés de peintures nécessaires.
Mais pour moi, la réconciliation n’est que respect [. . . ]. C’est une façon de sauver les nôtres.
La directrice du Centre national pour la vérité et la réconciliation, Stephanie Scott, a parlé des fardeaux accumulés à Ottawa. Nos recherches se poursuivent [. . . ] afin que nous puissions avoir les 23 millions d’enregistrements qui n’ont pas été publiés », a-t-il déclaré.
Les maisons visaient à détruire les langues et les cultures des peuples autochtones, mais n’ont pas réussi.
À Ottawa, au début de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, la guérison et l’amour ont animé les discours et la foule s’est rassemblée devant le Parlement.
Sans amour, il n’y a pas de guérison. Et qu’y a-t-il dans les prières de tous les survivants ?Avec amour, Claudette Commanda, aînée des Anishniaabe.
Là où il y a de la haine, semons l’amour. Là où il y a une blessure, semons la guérison. Là où il y a un doute, semons la foi. Là où il y a du désespoir, semons l’espoir », a ajouté le Dr Willie Littlechild, croyant en chef de l’Alberta et ancien commissaire de la Commission de vérité et réconciliation.
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Des milliers de personnes honorent la mémoire des patients et des survivants des détenus.
Les noms de milliers de jeunes qui ne sont jamais revenus des pensionnats indiens sont inscrits sur une bannière géante qui a été déployée lors d’une procession solennelle samedi à Ottawa.
Photo : Radio-Canada / Patrick Foucault
Depuis 2021, la Journée nationale de vérité et réconciliation rend hommage à la mémoire des jeunes morts ou disparus dans les internats.
Depuis 2021, la Journée nationale de vérité et réconciliation rend hommage à la mémoire des jeunes morts ou disparus dans les internats.
Le Centre national pour la vérité et la réconciliation a enregistré 4 118 jeunes décédés dans les pensionnats.
Le Centre national pour la vérité et la réconciliation a enregistré 4 118 jeunes décédés dans les pensionnats.
La création de cette journée est l’un des 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation en 2015. À ce jour, treize de ces appels seulement ont été réglés.
La création de cette journée est l’un des 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation en 2015. À ce jour, treize de ces appels seulement ont été réglés.
Voilà qui conclut notre politique sur la Journée nationale de vérité et réconciliation. Merci d’être ici.
Pour ne rien manquer, vous pouvez également consulter notre historique dédié à cet événement.
Bonne nuit!
Des milliers de personnes ont participé à une marche à Montréal.
Photo : Presse Canadienne / Graham Hughes
Partout au pays, les Canadiens se sont joints samedi à l’oppression systémique des peuples autochtones et ont célébré la 3e Journée nationale de la vérité et de la réconciliation.
Des survivants des pensionnats indiens et des dirigeants autochtones étaient parmi beaucoup d’autres qui se sont réunis au Parlement pour participer à cet événement commémoratif.
En plus du rite national à Ottawa, des activités étaient également prévues à Montréal, Victoria, Winnipeg et Toronto, entre autres.
Le premier ministre Justin Trudeau, qui est en Saskatchewan pour souligner cette journée spéciale, a déclaré que le 30 septembre sera l’occasion de prêter attention aux survivants.
La réconciliation n’est pas le devoir des peuples autochtones, mais c’est le devoir des deux. Il est de notre devoir de donner une voix aux Premières Nations, aux Inuits et aux Métis, de prêter attention à leurs histoires et d’en être informés », a-t-il déclaré. .