Les traitements anti-âge à base de cellules-souches ont l’effet en pouce. En particulier au Japon, où la médecine dite « régénérative » est largement encouragée. Ce type de traitement vise à réparer des organes ou des lésions – y compris ces cotisations aux effets du vieillissement – à l’aide de cellules-souches capables de se renouveler. En 2014, le gouvernement japonais a adopté deux lois pour [que le pays soit] le premier à disposer de traitements dans ce domaine», commente un médecin sur le site d’information Ronza.
Le Japon tente en fait de garder l’avance acquise depuis que Shinya Yamanaka, chercheur à l’Université de Kyoto, a mis au point, en 2006, une technique pour reprogrammer généralement n’importe quelle cellule et la rendre pluripotente, c’est-à-dire capable de se multiplier à l’infini et de se différencier en différents types de cellules; des travaux qui lui ont valu le prix Nobel de médecine en 2012.
« Le Japon est actuellement un centre de gravité dans le domaine des thérapies novatrices », confirme dans Nature Gil Van Bokkelen, PDG d’Athersys, une entreprise américaine de biotechnologie qui organise au Japon des essais cliniques pour un traitement des AVC et maladies respiratoires reposant sur les cellules-souches. Mais le dispositif japonais japonais très permissif permet aussi, dans certaines conditions, de s’affranchir des tests rigoureux et de commercial rapidement traitements. « Sans preuve réelle de leur efficacité », dà © plore la revue scientifique.
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