La SNCF va lancer des négociations avec les syndicats pour remettre en cause les conditions de travail et les rémunérations dans les centres de maintenance des TGV, a affirmé mercredi la directrice g n rale de Voyages SNCF, Rachel Picard.
Une première table ronde avec les quatre syndicats représentatifs de la SNCF doit permettre mercredi apr s-midi d’en finir les modalit s et le calendrier, a tail Rachel Picard l’AFP, alors que des arr ts de travail affectent le technicentre des TGV Nord du Landy (Seine-Saint-Denis), succ dant un gr ve dans le TGV Atlantique CH tillon (Hauts-de-Seine).
On a pr vu un travail de fond en D mais d’ann e 2020 sur l’ensemble des conditions de travail, de vie et de r mun ration de tous ces niveaux. Sur une conscience qu’il faut reprendre le sujet en grand , une explique Rachel Picard. Mais clairement, les agents nous dis que c’est trop tard. Ils sont impatients, sur s’est tromp , sur n’a pas t’assez vite, du coup sur un d cid du faire maintenant.
Le premier porte sur les effectifs et les difficultés de recrutement, voiture trop de postes sont non couverts dans les technicentres.
Le deuxi me e me concerne l’environnement du travail . Evidemment, il y a de l’argent mis , des outils aussi, un remarque Rachel Picard. Sur la réalité moderne nos technicentres friands.
La direction aussi que les agents des techniciens partagent les bons résultats , leur travail contribuant à l’amélioration de la ponctualité , a-t-elle pas .
Enfin, direction et syndicats qui ont fait l’objet d’une ration de l’adaptation de la r mun aux nouveaux rythmes de travail et l’évolution des expertises –parce qu’on voit bien aussi que si on a du mal recruter, c’est parce qu’on demande des niveaux d’expertise lev s– , un indicateur la patronne des TGV.
Rachel Picard reconnaîtra que la mont e en puissance des TGV ces dernières années, et la création du service low-cost Ouigo, a (eu) un impact sur le système de production, et en particulier sur les centres de maintenance .