Les applications alimentaires, Yuka et compagnies

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Le papier ci-dessous réalisé par France Culture sur les applications alimentaires raconte une histoire qui dans l’industrie mobile raisonne différemment, pourquoi ? car la lecture d’un code (barre,1D,2D) n’est pas nouvelle sur un smartphone, que l’organisme GS1 non plus !  (Global Standard One) qui travaille à la normalisation mondiale, avec pour mission de définir et mis en œuvre des normes et des solutions globales.

En 2010 déjà la grande distribution comme le site mobile de Carrefour, l’utilisation d’un lecteur de code 2D pour lire des informations Produits : Vue à 360 degrés du produit, informations complémentaires, conseil…… L’initiative Mobile Commerce était pilotée avec la GS1 pour définir des normes interopérables pour connecter les consommateurs via leur téléphone portable.

Mais voila le timing n’était pas le bon, le marché, les usages (smartphone, réseau…) pas encore installé, mais la créativité et les startups étaient à la place de l’écosystème que l’on a donné aujourd’hui, y compris la plupart des VC qui ne comprenait rien au mobile à l’époque… Etc

Des dizaines d’applications sur nos smartphones permettent de savoir ce que contiennent les aliments. Bousculée, l’industrie agroalimentaire se lance sur le même terrain et réalise ses propres applications. Voilà qui soulève de nombreuses questions. Refaire 900 recettes verser retirer 142 additifs. Quand Intermarché a annoncé cet objectif, le mois dernier, il a évoqué les mauvaises notes des produits concernés, sur l’application Yuka. Symptôme à la fois de la demande de transparence sur les aliments, exprimée par les consommateurs, et de la place prise par les applications pour y répondre.

Qui détient les informations sur ce que contiennent nos aliments ? Alors cette question est devenue cruciale pour les applications alimentaires, l’industrie agroalimentaire a décidé de constituer sa propre base de données numérique, baptisée Codeonline food. Créée par l’organisme GS1, elle rassemble de manière standardisée les informations fournies par les industriels eux-mêmes. Voilà qui convainc déjà un certains nombre de concepteurs de services autour des aliments. Comme l’application Allergobox, qui signale la présence d’allergènes et a besoin d’information à jour. Seulement l’accès direct à ces informations sera soumis à cotisation. Une fois par mois, un fichier sera publié pour les non-adhérents.

“Pour être transparents, les industriels auraient pu transmettre ces informations fiables à une base de données citoyenne gratuite et ouverte comme la nôtre, Open food facts,” déplore son créateur Stéphane Gigandet . Open food facts a d’ailleurs reçu 15 000 euros de l’Agence nationale Santé publique France afin d’améliorer l’intégration des données transmises par les industriels. Dans le même temps, Bercy finance à hauteur de 3 millions d’euros, dans le cadre d’un programme d’investissement d’avenir, un autre projet, baptisé Num-Alim. Portée entre autres par l’Ania, l’association représentant l’industrie alimentaire. Aux données de Codeonline food, il prévoit d’ajouter de nombreuses autres informations, comme l’empreinte écologique explique Sandrine Blanchemanche, Directrice alimentation saine, sure et durable à l’ANIA.

Comment sont établis les scores ou notes qui pourraient guider les choix des consommateurs. Rappelons qu’un certains nombre de corrélations ne sont pas scientifiquement établies. Par exemple sur Yuka (12 millions d’utilisateurs), 30% de la note d’un produit dépend de la présence d’additifs. Cette proportion est un choix des concepteurs de l’application et non sur le résultats de la recherche. Pour Marine Friant-Perrot, maîtresse de conférences en droit à Nantes et spécialiste de la consommation alimentaire, avec ces applications les industriels veulent rependre la main. Cela soulève des questions de fond : qui va traiter les données, et selon quels critères ? Le problème ce n’est pas que les données viennent des industriels, mais plutôt la manière dont ils pourraient hiérarchiser les données. Par exemple une valeur nutritionnelle mauvaise pourrait être contrebalancée par d’autres critères plus favorable, comme l’empreinte écologique. Source et suite ICI

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