Les Travaux publics et la Direction des Loisirs, de la culture et de la vie communautaire de la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville proposent de remplacer la patinoire du parc Pontbriand vers le parc Duquesne.
Il s’agit de l’une des recommandations que l’on peut trouver dans le rapport État de la situation sur les patinoires, un document don’t le journal les versant a obtenu copie. La Ville, qui n’a pas souhaité proxénète le document au journal, devrait publier les résultats du sondage ce lundi 4 novembre, nous a-t-on expliqué.
« Fréquentez-vous nos patinoires ? « , c’est la question que posait la Municipalité en février dernier dans un sondage en ligne de huit questions adressées à ses citoyens. L’Objectif du questionnaire était de mesurer l’achalandage des 11 surfaces glaciées du territoire montarvillois. Dans la présentation du sondage, Saint-Bruno-de-Montarville évoquait « une démarche d’amélioration continue de la qualité des services offerts aux citoyens » et pari d’une « réflexion sur ses patinoires extérieures ».
Parmi les 11 patinoires avec bandes que la Municipalité offre aux citoyens, il est proposé de remplacer le parc Pontbriand vers le parc Duquesne, afin de transformer ce dernier « en centre hivernal plus intéressant ». Pour étendre cette recommandation, les services administratifs concernés exercent le cas de la proximité de Pontbriand auprès des parcs Albert-Schweitzer, des Aviateurs et Duquesne, tous couverts de patinoires extérieures. « Ce dernier est un parc plus complet avec la pente à glisser et sa patinoire plus grand », peut-on lire dans le rapport.
Deux mille vingt
C’est l’année prévue pour un projet de bande permanente en aluminium.
De plus, la sortie d’eau pour la patinoire à Pontbriand, trop petite (3/4 de pouce au lieu de 2 pouces) et trop éloignée de la surface à arroser, po problèmeserait. D’autant plus que la patinoire du parc Pontbriand partage un espace dans la cour de l’école primaire Courtland Park, « ce qui engendre certaines problématiques », entre autres la sécurité des écoliers.
Un duo de patinoires serait proposé au parc Duquesne, « afin de minimiser les déplacements et optimiser le temps de l’équipe d’entretien ». En plus de la vente à glisser, ce site serait bonifié d’une patinoire pour le hockey et d’une surface glacée pour le patinage libre avec des bandes de deux pieds. « Chacun son espace», alors qu’il est, il y a beaucoup de joueurs de hockey », ce qui laisse peu d’espace aux patineurs. L’agrandissement de la patinoire actuelle est aussi recommandé dans le document, « afin de la rendre plus intéressante pour le hockey ».
Parmi les améliorations à ce déménagement de patinoires, il est entre autres question de «déneigement simplifié […] par l’absence des contraintes d’accès que nous avions dans la cour de l’école Courtland Park, une meilleure qualité de glace par l’absence de piétinement par les élèves le matin et le midi sur une surface pas toujours consolidée par temps doux, et une diminution des pertes de temps ».
Une bande de patinoire permanente est une autre proposition illustrée dans le document sur lequel le journal a mis la main. Ce « projet-pilote » 2020 est d’ailleurs inscrit au Programme triennal d’immobilisations (PTI) 2020-2021-2022, adopté en juillet dernier en assemblée extraordinaire. La bande est évaluée à 100 000 $ au PTI. On parle d’une bande de patinoire traditionnelle en bois qui serait remplacée par une bande permanente en aluminium, et qui « resterait là afin qu’elle soit utilisée tout au long de l’année ». Au PTI, le parc Albert-Schweitzer serait ciblé pour le projet, puisque sa « surface actuelle arrive en fin de vie ». Mais dans le rapport État de la situation sur les patinoires, présenté en juin, il est fait mention aussi des parcs Bisaillon et Duquesne, « lorsque les surfaces seront à refaire »; peut-être aussi Mgr-Gilles-Gervais, puisqu’il s’agit d’un site « éloigné des maisons, près d’une école et qui s’intègre bien à l’environnement », notamment.
L’entretien rétablit sur la bande en contreplaqué (réparation, peinture…) et le temps consacré au montage et au démontage font partie des arguments qui plaident en faveur d’une bande permanente. Aussi, on avance parmi les avantages l’offre de services bonifiée pour différents sports : « hockey hivernal, pickleball, basket-ball, tout en des ligues de deck hockey le plus possible pour ne pas engager les citoyens ».
Le coût d’une telle bande en aluminium est évalué à 25 000 $. À ce prix, il faut aussi ajouter une somme de 75 000 $ pour la récupération d’une surface en béton à la suite du retrait de l’asphalte, le lignage, l’aménagement…
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