Ils étaient des centaines à se rendre sur le célèbre site d’Uluru en Australie vendredi 25 octobre pour d’effectuer une dernière ascension. A la demande de ses propriétaires, les aborigènes Anangu, le monolithe géant est désormais interdit d’accès. Egalement connu sous le nom d’Ayers Rock, ce rocher de près de 350 mètres de haut ne pas la couleur change en fonction en effet considéré comme un lieu sacré pour les peuples aborigènes de la région. Alors que le sommet du site était accessible depuis les années 50, ils ont décidé de l’interdiction afin de protéger le site des dommages environnementaux mais aussi pour protéger les touristes.
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Une décision prise en 2017 qui n’est mise en application qu’en cette fin de mois d’octobre 2019. Jusqu’à maintenant, des panneaux avaient été installés afin d’inciter les visiteurs à ne pas entreprendre l’escalade d’Uluru. On pouvait y lire : « Nous, les Anangu, les propriétaires traditionnels, avons cela à vous dire : la montée n’est pas interdite mais nous vous demandons de respecter notre loi et notre culture en ne grimpant pas dessus. Nous sommes responsables de la sécurité de ceux qui visitent notre terre. La montée peut être dangereuse. Trop de gens sont morts en train d’essayer de grimper Uluru. ». Des conseils qui n’avaient alors pas refroidi les visiteurs, qui ont été encore plus nombreux à se rendre sur le site cette année. Si les derniers touristes ont donc accédé au sommet du rocher Uluru ce vendredi 25 octobre, il est toujours possible de visiter librement le parc national d’Uluru-Kata Tjuta au cœur duquel se trouve le rocher sacré.
Ils étaient des centaines à se rendre sur le célèbre site d’Uluru en Australie vendredi 25 octobre pour d’effectuer une dernière ascension. A la demande de ses propriétaires, les aborigènes Anangu, le monolithe géant est désormais interdit…
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