Pierre-Luc Dubois (ici face à la Finlande lors de la Coupe du monde 2019) est l’un des douze joueurs canadiens de plus de cm.
C’est une perspective évidente qui risque de faire peur à un joueur du calibre de Tristan Scherwey (1,76 m), mais la Suisse aura encore devant elle une équipe de « géants » samedi dans la forme la plus sensée pour le premier. position du groupe. Les deux équipes ont obtenu un résultat impeccable jusqu’à présent: 4 matches, 4 victoires en temps réglementaire (12 points).
Cette année, le Canada est énorme. Douze des 22 Canadiens choisis à la Coupe du monde mesurent plus de 1,90 m : les deux gardiens, 3 des sept défenseurs et, surtout, sept des treize attaquants!
Le Canada a présenté à la Coupe du monde en Finlande la plus grande équipe, ou du moins celle avec le nombre maximum de joueurs de 190 cm et plus (lire l’encadré), au cours des dernières années. À titre de comparaison, la Suède en compte six (dont les 3 gardiens) comme la Finlande. Les pays nordiques sont connus pour la longueur supérieure de leur population.
Le « plus petit » joueur de l’équipe canadienne est aussi le plus jeune : Cole Sillinger, 19 ans, mesure encore 183 cm. Pour se faire une idée, l’équipe de Patrick Fischer compte cinq joueurs de 1,80 m : les attaquants Christoph Bertschy (178), Tristan Scherwey (176), Andrés Ambühl (176), Denis Malgin (175) et le défenseur Dominik Egli, le plus petit du groupe avec ses 173 cm.
C’est bien connu : la longueur est tout. Pourtant, devant, les Suisses n’en ont « que » 4 décidés au-dessus de 1m90: le gardien Reto Berra (194 cm) et les défenseurs Tobias Geisser (193), Michael Fora (192) et Christian Marti (191).
Alors que plus d’une partie des joueurs qui composent l’attaque canadienne dépassent les 190 cm, aucun attaquant suisse ne dépasse les 90 mètres.
Suisse: 25 décidés / moyenne de 184,44 cm / 87,48 kg.
Canada : 22 décidés / moyenne de 189,41 cm / 90,32 kg.
« Nous devrons contrôler nos émotions. C’est tout ce dont on a parlé dans le groupe. Au cours des derniers matchs, nous avons perdu le contrôle émotionnel. »
Mais attention : bien que le Canada ait beaucoup de masse physique à mettre en balance, la variété feuille d’érable ne fait pas partie des groupes maximum sanctionnés du tournoi (19 conséquences mineures en 4 matchs, comme la Suisse).
Les Suisses, quant à eux, se sont dissipés lors du dernier match remporté contre les Slovaques mercredi (5-3). À la lumière de ce qui précède, les Canadiens mettront-ils les discussions au point physique samedi, lorsque le vainqueur du groupe aura une chance intelligente de remporter la première position du groupe?
« C’est vrai que les Canadiens sont forts physiquement, a dit l’entraîneur Patrick Fischer. Ils jouent aussi dur. Mais nous sommes aussi capables de jouer dur. D’autre part, nous devrons contrôler nos émotions. C’est tout ce dont on a parlé dans le groupe. Lors des derniers matchs, nous avons perdu le contrôle émotionnel. Mais je suis sûr que nous serons en position là-dessus (samedi). »
La réponse de 15h20 . m sur la patinoire de la salle de glace d’Helsinki. L’enjeu est la première place de l’organisation et la perspective d’hériter d’un adversaire de plus en quarts (que ce soit la Finlande ou la Suède).