Ils circulent, il n’y a rien à voir, c’est un peu comme la façon dont l’Elysée a répondu à la plainte concernant la présence d’Emmanuel Macron à la messe du pape François à Marseille, un moment qualifié de « populaire » avec encore 60 000 personnes accumulées dans le célèbre stade Vélodrome de la ville de Focense.
La France rebelle (LFI), qui reçoit les premières attaques à travers l’environnement du président de la République, qui estime qu’il n’y a pas de « controverse nationale », mais des attaques d’un seul parti politique, négligeant d’autres positions critiques comme celle des communistes. Fabian Roussel.
Pour l’Elysée, « il y a une différence entre ‘assister à la messe’ et ‘participer à l’Eucharistie’, prendre l’hostie », ce que fera le chef de l’Etat, car, comme l’a déclaré le général De Gaulle, cité par un conseiller : « La République obtient la communion ».
Et rappelez-vous que déjà pour les funérailles du chanteur Johnny Hallyday ou de l’ancien chef de l’Etat Jacques Chirac, Emmanuel Macron avait assisté à des messes, comme en d’autres occasions ses prédécesseurs. La laïcité, explique l’Elysée, ne sauve pas la République d’entretenir des relations avec les religions.
La même préférence pour clarifier les choses sur la question de la fin de vie, délicate pour les catholiques. Elisée nie avoir reporté la présentation du projet de loi pour sauver le pape.
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