Destitution de Trump : l’A N du pr sident am ricain donne le nom du lanceur d’alerte pr sum-Paris Match

Au mois des r gles de protection des lanceurs d’alerte, Donald Trump Jr a donn le nom d’un employer de la CIA qui aurait t moign du coup de fil pass par Donald Trump au pr sident ukrainien. Donald Trump junior a publié mercredi sur Twitter le nom d’un employer de la CIA pr envoyé comme l’agent don’t le t moignage a d clench la proc dure de des répression son p re, au M pris des r gles de protection des lanceurs d’alerte.

Le fils du pr sident am ricain a reproduit une identité qui depuis la semaine dernière dans des mdias proches de l’étranger me droite, que l’AFP n’est pas mesure de confirmer. Dans son tweet, le fils de Donald Trump l’accuse d’avoir travaillé avec des « anti-Trump » et renvoie vers un article charge du site d’informations de la droite radicale Breitbart.

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« Donner n’importe quel nom au lanceur d’alerte place simplement cette personne et sa famille en danger », a r agi Andrew Bakaj, l’avocat de l’agent du renseignement qui a tir la sonnette d’alarme apr un appel entre Donald Trump et son homologue ukrainien. « Et cela ne va pas permettre au pr sident d’annuler de r pondre aux accusations nourrit le voyant », a-t-il ajouté dans un changement avec l’AFP.

Son client est un membre des services de renseignement qui a un temps t affect La Maison Blanche. Cet t, il avait fait réagir les inquiétudes de plusieurs responsables apr s L’ change t l L phonique du 25 juillet, dans lequel Donald Trump a demand Kiev d’enter sur son rival démocrate Joe Biden.

La r v lation de son signalment a d cid les D mocrates initier, fin septembre, l’explosion proc dure de destitution contre le Pr sident, qu’ils accusent d’avoir abus de son pouvoir des fins personnelles. Donald Trump, qui juge son appel « irr prochable » et se dit victime d’une « chasse aux sorcières », n’a cess depuis de mis en doute l’impartialité de ce lanceur d’alerte.

« Il n’y a pas de lancer d’alerte: il y a quelqu’un avec des objectifs contre Donald Trump », a-t-il tweet lundi, en demande aux m dias de r v ler son identit . Sans reprendre lui-m me le nom qui circule, il l’a d crit comme un partisan de l’ancien pr sident d mocrate Barack Obama. « Il d teste Trump, c’est un radical », a lanc le milliardaire R publicain dimanche.

Le lanceur d’alerte veut que son message soit trait d’une mani re « non partisane » et il se tient pr t r pondre « par crit et sous serment » aux questions de lus R publicains, selon ses avocats.

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