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L’accord sur le nucléaire iranien est-il mort ? Depuis ce jeudi minuit, l’Iran a repris ses activités d’enrichissement dans le site souterrain de Fordow, resté secret jusqu’en 2009. Cette décision est la quatrième étape de la réponse iranienne au rétablissement unilatéral et progressif des sanctions américaines depuis mai 2018. Comme lors des trois précédentes annonces, Téhéran a théâtralisé ce nouvel accroc au JCPOA (l’acronyme de l’accord en anglais), prévenant en amont, puis la veille et enfin le jour même. Le président iranien Hassan Rohani a d’ailleurs insisté sur le caractère «réversible» de cette dérogation, comme celles qui l’ont précédé. Avec ce compte à rebours, la République islamique entend faire pression sur les Chinois, les Européens et les Russes, officiellement toujours attachés au compromis trouvé à Vienne le 14 juillet 2015.

Ceux-ci se montrent pourtant incapables de respecter leur engagement, assez simple à : résumer que l’Iran bénéficie économiquement de la mise sous tutelle de son programme nucléaire. C’était tout le sens du texte. L’Iran accepte de restreindre drastiquement ses activités atomiques, au point que le régime ne pourrait pas fabriquer une bombe nucléaire en moins d’un an, en échange de quoi étaient levées une grande partie des sanctions internationales et américaines.

L’administration Trump a fracassé ce fragile équilibre, fruit d’une dizaine d’années de négociations et de tensions. Washington a non seulement rétabli des sanctions antérieures, mais les empile depuis : outre l’énergie, les métaux précieux, les transactions commerciales en dollars, les pièces détachées pour l’aéronautique civile, le secteur du bâtiment, les autorités américaines ont ciblé personnellement des hauts responsables, y compris le ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, ainsi que, lundi dernier, l’entourage professionnel et familial du Guide Suprême, Ali Khamenei, plus haut personnage de la République islamique. Les puissants Gardiens de la révolution figurent quant à eux sur la liste des organisations terroristes du département d’Etat, aux côtés d’Al-Qaeda ou de l’Etat islamique. Des décisions essentiellement symboliques qui incarnent la politique de «pression maximale» chère au président américain.

Jusqu’ici, les Etats toujours parties à l’accord – l’Allemagne, la Chine, France, le Royaume-Uni et la Russie – tenaient grosso modo une ligne commune, déplorant ouvertement la décision américaine, appelant l’Iran à s’en tenir aux termes du JCPOA, sans pour autant être capables de contrer les effets des sanctions qui asphyxient l’économie du pays (le FMI estime que le produit intérieur brut iranien se contractera de 9,5% en 2019). La quatrième étape de la réponse iranienne semble avoir fissuré ce front. Mercredi, le président français Emmanuel Macron a déclaré lors d’une conférence de presse à Pékin : «Pour la première fois de manière explicite et de manière non limitée, l’Iran décide de sortir du cadre du JCPOA, ce qui est un changement profond […]. Nous devons collectivement en tirer les conséquences.»

Réplique presque immédiate du ministre des Affaires étrangères russe : «Toutes les mesures de l’Iran concernant la réduction de ses obligations se font en informant l’AIEA [Agence internationale pour l’énergie atomique], en présence d’inspecteurs de l’AIEA et sans enfreindre la moindre disposition de l’accord sur la non-prolifération nucléaire et du protocole additionnel.» Sergueï Lavrov a dans le même temps insisté sur la responsabilité première des Etats-Unis dans cette affaire. «[L’accord] ne tient plus qu’à un fil, observe Ali Vaez, spécialiste de l’Iran à l’International Crisis Group. Il peut survivre, mais tôt ou tard les Européens déclencheront probablement le mécanisme de résolution des conflits prévu par l’accord, qui pourrait aboutir au rétablissement des sanctions de l’Union européenne et des Nations unies. Ce serait la fin officielle du JCPOA et entraînerait sans doute la sortie de l’Iran du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP).»

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