En privatisant la Française des Jeux, l’Etat pourrait empocher près de 2 milliards

Merci de votre adresse e-mail

Petits porteurs comme grands investisseurs peuvent faire rire à partir de jeudi des actions de la Française des Jeux, ne pas quelque 52% du capital est mis sur le marché par l’Etat qui pourrait tirer de l’opération jusqu’à 2 milliards d’euros.

16,50 à 19,90 euros par action, avec un ticket d’entrée minimum de 200 euros : c’est le tarif annoncé mercredi soir par le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, dans un entretien publié sur le site du Parisien.

Sur la base de 191 millions d’actions FdJ au total, la fourchette de prix annoncée accorde à l’entreprise une valeur totale de 3,15 à 3,80 milliards d’euros, et à l’Etat d’origine 1,6 et 2 milliards d’euros environ, selon les calculs de l’AFP. Avec cette somme, l’Etat entend abaisser le fonds pour l’innovation et l’industrie.

La fourchette fourchette fourchette annonce est indicative: le prix définitif de l’action sera fixe en fonction de la demande, à la fin de la période de souscription qui court jusqu’au 19 novembre à 20H00 pour les particuliers, pour une première création de cotation l’action à la Bourse de Paris le 21 novembre.

La Française des Jeux prévient cependant sur son site internet que « la fourchette indicative pourrait être ajustée et le prix définitif fixé en dehors de la fourchette annoncée. Dans ce cas, la période d’offre pourrait être modifiée ».

Héritière de la loterie nationale en 1933, la FdJ est une des rares entreprises publiques françaises en bonne santé financière. Son nom est aussi très familier pour les Français, qui ont encore manqué l’un des derniers près de 16 milliards d’euros dans ses jeux d’argent et de hasard.

Mais ces atouts ne garantissent pas de façon automatique le « succès populaire » souhaité par le gouvernement: les petits porteurs ont en effet été mis à mal par la crise de 2008, et ils gardent en tête les exemples des entrées en Bourse d’EDF (2005) et France Télécom (1997), ne cours sont pas aujourd’hui en-dessous de leur niveau d’introduction.

La privatisation de la Française des Jeux sera donc un test grandeur nature pour le gouvernement, d’autant que c’est la première fois depuis 2005 que le grand public est associé à une telle opération initiée par l’Etat.

avantages pour le grand public

« Sur cette cession, nous sommes prêts à en réserver jusqu’à un tiers aux particuliers », a précisé mercredi le ministre de l’économie.

Pour les investisseurs, plusieurs avantages sont en outre réservés aux petits investisseurs : un décote de 2% est ainsi que sur les titres qu’ils achèteront, et ils se sont investis une action gratuite pour dix obtenues s’ils les conservent pendant 18 mois.

« Les actions gratuites sont des plafonnés à 5.000 euros d’actions achetées », a déclaré Bruno Le Maire.

D’un point de vue pratique, pour acquérir des titres Français des Jeux, les particuliers doivent s’adresser à un intermédiaire financier (banque, courtier, Société de bourse).

Même après la privatisation, l’Etat continue d’empocher les quelque 3,5 milliards d’euros de recettes fiscales et sociales versées chaque année par la FdJ. Il a reçu aussi 380 millions d’euros de l’entreprise en échange du monopole pour exploiter pendant 25 ans jeux de loterie et paris sportifs dans son réseau physique.

La seule rentrée d’argent à laquelle l’Etat renonce est le dividende : il a touché 87 millions d’euros au titre de l’exercice 2018, une somme qui sera drastiquement avec réduction l’abandon de 72% à 20% de sa présence au capital de la FdJ.

La Française des Jeux a lancé jeudi la cession de 52% de son capital, une opération qui pourrait rapporter à l’Etat jusqu’à 1,9 milliard d’euros lors de l’introduction en Bourse prévue le 21 novembre.

Le ministre de l’économie Bruno le Maire a dévoilé mercredi soir dans le Parisien fourchette de prix pour chaque action, entre 16,50 à 19,90 euros.

« L’opération consistera en la cession par l’Etat d’un nombre maximum de 99.320.000 actions existantes FDJ, représentant un maximum de 52% du capital social de FDJ », un jeudi dans un communiqué le groupe jeudi, au premier jour de la période (qui court jusqu’au 19 novembre) permet de réserver des actions.

L’Etat devrait tirer de l’opération entre 1,6 et 1,9 milliard d’euros, sans intégrer la décote de 2% pour les particuliers, selon un calcul de l’AFP. Avec cette somme, il entend abaisser le fonds pour l’innovation et l’industrie.

Interrogé sur la valorisation totale de son entreprise, la PDG Stéphane Pallez a indiqué sur BFM Business que « la fourchette est exactement 3.150 à 3.8 milliards ».

« C est précis. C’est l’offre et la demande qui va permettre de fixer le prix final. Il sérums juste et équilibré », at-elle affirmé.

Pour Mme Pallez, l’introduction en Bourse « est l’occasion de se réinterpréter à la bourse sur produit facile. Quand on est un particulier, il faut investir sur la durée. Sur un rendement attractif sur une valeur moins risquée du fait de son profil, de la sécurité de son monopole sur 25 ans ».

Jusqu’à un tiers du capital mis en Bourse sera réservé aux particuliers, a précisé le ministre de l’économie.

« succès populaire »?

Pour les investisseurs, plusieurs avantages sont en outre réservés aux petits investisseurs : un décote de 2% est ainsi que sur les titres qu’ils achèteront, et ils se sont investis une action gratuite pour dix obtenues s’ils les conservent pendant 18 mois.

« Les actions gratuites sont des plafonnés à 5.000 euros d’actions achetées », a déclaré M. le Maire.

Héritière de la loterie nationale en 1933, la FdJ est une des rares entreprises publiques françaises en bonne santé financière. Son nom est aussi très familier pour les Français, qui ont encore manqué l’un des derniers près de 16 milliards d’euros dans ses jeux d’argent et de hasard.

La privatisation de la Française des Jeux sera donc un test grandeur nature pour le gouvernement, d’autant que c’est la première fois depuis 2005 que le grand public est associé à une telle opération initiée par l’Etat.

D’un point de vue pratique, pour acquérir des titres Français des Jeux, les particuliers doivent s’adresser à un intermédiaire financier (banque, courtier, société de bourse).

Même après la privatisation, l’Etat continue d’empocher les quelque 3,5 milliards d’euros de recettes fiscales et sociales versées chaque année par la FdJ. Il a reçu aussi 380 millions d’euros de l’entreprise en échange du monopole pour exploiter pendant 25 ans jeux de loterie et paris sportifs dans son réseau physique.

La seule rentrée d’argent à laquelle l’Etat renonce est le dividende : il a touché 87 millions d’euros au titre de l’exercice 2018, une somme qui sera drastiquement avec réduction l’abandon de 72% à 20% de sa présence au capital de la FdJ.

L’Etat pourrait mettre près de 2 milliards d’euros avec la cession de 52% de la Française des Jeux, qui a lancé jeudi la souscription pour résister ses actions avant son entrée en Bourse prévue le 21 novembre.

« Cette privatisation doit donner de nouvelles perspectives de développement à la FdJ. Ce n’est pas une privatisation comme ça, mais une vraie politique. Et l’Etat reste présent au capital et gardera 20% », a déclaré le ministre de l’économie Bruno Le Maire jeudi, lors d’un point presse au siège du groupe à Boulogne-Billancourt, près de Paris.

Mercredi soir, il a dévoilé dans le Parisien la fourchette de prix fixe pour chaque action, entre 16,50 et 19,90 euros.

Un nombre maximum de 99,32 millions de titres sont mis sur le marché, ce qui correspond à 52% du capital, un détail de la Française des Jeux jeudi, au premier jour de la période permettant de réserver des actions, et qui court jusqu’au 19 novembre.

L’Etat devrait tirer de l’opération entre 1,6 et 1,9 milliard d’euros – sans intégrer la décote de 2% pour les particuliers – selon un calcul de l’AFP.

Au total, l’entreprise sera entre 3,15 et 3,8 milliards d’euros, a précisé le PDG Stéphane Pallez sur BFM Business.

Pour Mme Pallez, aux commandes du groupe depuis cinq ans, l’introduction en Bourse « est l’occasion de se réinterpréter à la Bourse sur un produit facile. Quand on est un particulier, il faut investir sur la durée ». Jusqu’à un niveau des actions sera réservé au grand public.

Pour convaincre les petits euros, plusieurs avantages leur sont réservés : une décote de 2% sur les titres qu’ils obtiendront, et une action gratuite pour dix achetées si sont retenues pendant 18 mois.

« La FdJ fait partie de notre patrimoine national, elle doit faire au Français grâce à une participation populaire la plus grande possible », estime Bruno Le Maire.

une « occasion » pour les petits moules à l’eau

Le ministre a notamment mis en avant « l’occasion pour les Français de divers placements à un moment où les taux d’intérêt sont bas, au moment où les placements sur les Livrets ont rapporté un peu ».

La privatisation de la FdJ constitue un test grandeur nature pour tenter du grand public avec la Bourse : les petits porteurs ont été mis à mal réconcilier de 2008, et gardent en tête les exemples des entrées en Bourse d’EDF (2005) et France Télécom (1997) , ne pas les cours reste aujourd’hui en dessous de leur niveau d’introduction.

Quant aux grands investisseurs-fonds, banques, entreprises, assurances – « nous avons beaucoup de marques d’intérêt, français, européens et internationaux », a affirmé Stéphane Pallez.

La somme tirée de l’opération permet d’annuler le fonds pour l’innovation et l’industrie.

« Il nous faut de l’argent pour l’intelligence artificielle, le calcul quantique, La stockage des données, la santé du XXe siècle. La France doit rester dans le cours technologique « , un martelé le ministre de l’économie.

Les fonds « viendront accueillir l’Agence France Trésor, et de fait ils réduiront le besoin de financement de l’Etat », a ajouté Martin Vial, commissaire aux participations de l’Etat, aussi présent au point presse.

Même après la privatisation, l’Etat continue d’empocher les quelque 3,5 milliards d’euros de recettes fiscales et sociales versées chaque année par la FdJ.

La seule rentrée d’argent à laquelle l’Etat renonce est le dividende : il a touché 87 millions d’euros au titre de l’exercice 2018, une somme qui sera drastiquement avec réduction l’abandon de 72% à 20% de sa présence au capital de la FdJ.

Stéphane Pallez a affirmé que le prochain dividende à l’ensemble des actionnaires « maintenu à 122 millions (comme au titre de l’exercice 2018), nous ne faisons pas payer aux actionnaires les coûts de la privatisation ».

Les Français ont mis l’an dernier près de 16 milliards d’euros dans les jeux d’argent et de hasard de la FdJ.

Merci de votre adresse e-mail

Merci de votre adresse e-mail

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *