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L’association Bugale Kozh Yeodet un fils tenu assemblée générale, jeudi, au Patio. Cinq années de travail pour réhabiliter le Yaudet en tant que site patrimonial majeur. Le label Port d’intérêt patrimonial illustre les progrès réalisés grâce au travail mené conjointement avec la municipalité. Un débroussaillage respectueux d’un permis de mis en valeur vestiges historiques et chênes sombres : ils font l’admiration des visiteurs.
À la demande du département, une charte comprenant statuts, activités, et priorités a été rédigée et remise. Le péril subsiste du côté de la chapelle dans le refus communal sur la restauration du retable et des objets.
Aujourd’hui, l’association se trouve devant de nouveaux défis : la concrétisation de la feuille de route du port, la définition des rôles pour le plan de gestion départementale, et le livre de bord de la chapelle. La souscription à la commission nationale du patrimoine en péril reste d’actualité, mais d’autres voies sont considérées, comme la création d’un site de financement participatif, ou la recherche de mécènes.
Pour 2020, à côté du renouvellement des soutiens au circuit des Chapelles, aux pardons, à la fête du Moulin, un nouvel élan est prévu dans la transmission du patrimoine grâce à la création d’une commission culture.
Michelle Kerambrun est élue trésorière, et Anne Go-tz-Gaffric assurent la transmission de l’histoire du Yaudet dans le cadre d’une commission culture. Christian Martin-Taton est reconduit au poste de secrétaire, et André Le Baron, en l’absence de remplacement, garde le poste de président.
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