R formes des retraites : Stanislas Guerini s’oppose à Jean-Paul Delevoye sur la « clause du grand-père » . LCI-LCI

lizabeth Martichoux recevait ce jeudi 7 novembre 2019 sur LCI, dans le cadre de son interview politique, Stanislas Guerini. Le D gu g n ral de la R publique en marche a notamment longtemps VOQ ué la r forme des retraites, dossier explosif pour le gouvernement, et les propositions de Jean-Paul Delevoye, haut-commissaire aux retraites, sur la « clause du grand-père ».

Jean-Paul Delevoye a assuré mercredi qu’il tait « impossible » de R server le nouveau r gime universel de retraites aux nouveaux entrants sur la marche du travail, dans un entretien au Parisien. Interrog sur ce qu’on appelle galement la » clause du grand-père », Delevoye affirme que »cela reviendrait à un quarante-trois me r gime ». « C’est impossible ! Si on fait la’ clause du grand-p re ‘pour une profession, il faut la faire pour tout le monde, question d’arrêter , un veut dire que l’on renonce la r forme », tranche-t-il.

Interrog par Elizabeth Martichoux, Stanislas Guerini a pris ses distances avec les propos du haut-commissaire. « Je ne suis pas pour la’ clause du grand-père’, mais je suis pour que l?on garde le rythme de transition de cette forme, qu?on peut le faire avec plusieurs pistes sur la table. Qu’est-ce qui est important dans cette forme ? Ce sont les ordres de ce r forme, le fait que l’on mette en place un système me universel, qui remplace un système me o l’on a 42 r gimes Spéciaux. Le principe intangible qu’un euro cotis donne les mes droits pour tous les Français, parce que ce sera un système plus juste », affirme-t-il.

« C’est important et nous ne bougerons pas l-dessus, parce que nous croyons que cette forme est une forme n cessaire et juste. Sur un toujours dit sur la transition que, pour pouvoir accompagner les diff rentes professions ayant des r gimes sp ciaux aujourd’hui, il faut un rythme de transition o plusieurs options se trouvent sur la table don’t la ‘clause du grand-p re’. Nous sommes dans un moment o l’on se concerne avec les organisations syndicales, o l’on change avec les Fran ais. Beaucoup de d bats se font sur le terrain, je crois qu’il faut garder les pistes de transition sur la table », rappelle le D l G G g n ral de LaREM.

« Jean-Paul Delevoye dit qu?il n’est pas pour que la r forme ne s’applique qu’aux nouveaux entrants pour l’int gralité des professions. Il est le haut-commissaire qui m ne ce r forme, il est l gitime, il a le droit de ce donner opinion, rappelle Stanislas Guerini. Le temps n’est pas venu de dire aujourd’hui, au moment o nous parlons, quel doit traiter le rythme de transition, parce que nous parlons avec les organisations syndicales. Jean-Paul Delevoye a exprimé sa préférence; moi, je crois qu’il faut garder les diff rentes pistes de transition sur la table.

Guerini s’oppose à la galvanisation Delevoye sur la méthode. « Bien souvent, sur un ancien dans l’urgence, sur un spectacle voulu les muscles. Ou, justement, parce que nous pensons que ce r forme est ambitieuse, sur pr fr re dire: « Il y a de grands principes mais ces modèles, on va les co-construction avec des organisations syndicales. »Au fond, c’est a, l’acte 2 de ce quinquennat, note-t-il. Sur nous un reproche d’avancer comme des bulldozers dans l’acte 1. Pour cette forme qui concerne les cennies qui viennent, il est important que les options restent sur la table.

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