Rapport sur les prix des aliments du Canada 2025

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Halifax, Nueva Scotia – Le Rapport du prix des prix des aliments (CFPR) 2025 prévoit que les prix généraux des denrées alimentaires passeront de 3% à 5%. La famille moyenne de quatre Geste 16 833,67 $ en aliments en 2025, soit une augmentation de 801,56 $ depuis l’année dernière.   Le taux actuel est de 2,8%. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté à un rythme plus lent que prévu en 2024, comment l’abordabilité alimentaire reste une grande peur pour les Canadiens.

Cette année marque la publication du Rapport sur les prix des aliments au Canada (RPFC), une publication annuelle produite en collaboration par l’Université Dalhousie, l’Université de Guelph, l’Université de la Colombie-Britannique et l’Université de la Saskatchewan. Chacune de ces universités contribue à enrichir la portée du rapport et l’expérience régionale.   Les sources de données historiques de l’équipe de recherche à travers le pays, les algorithmes d’apprentissage automatique et les outils d’analyse prédictive pour prévoir les prix des aliments canadiens.  

Tableau 1: Prévisions des prix des aliments d’ici 2025

Augmentation de l’insécurité

Bien qu’il y ait eu une tendance à la baisse de l’inflation en 2024, les Canadiens continuent de faire des économies. En avril, Statistique Canada a indiqué qu’en 2023, 22,9 % des autres personnes dans les dix provinces vivaient dans un ménage d’entrée alimentaire. Cela signifie que 8,7 millions de personnes supplémentaires, dont 2,1 millions d’enfants, souffrent de la nourriture dont elles ont besoin. Les taux d’insécurité alimentaire les plus élevés ont été observés en Nouvelle-Écosse (28,9 %), suivie de l’Île-du-Prince-Édouard (28,6 %).  

En mars, le Bilan-Faim des banques alimentaires du Canada a signalé un nouveau nombre record de visites aux banques alimentaires (2 millions), ce qui représente une augmentation de 90 % par rapport à 2019. Une enquête récente menée par l’Agricultural Food Analysis Lab montre que les jeunes sont confrontés à des pressions économiques, environ 40 % de la génération Z (personnes nées entre 1997 et 2012) ayant recours à l’épargne ou à des prêts pour acheter de la nourriture (contre 20 % des baby-boomers).  

C’est pour garder à l’esprit que le CFPR ne vient pas avec des projections pour le territoire du Nord-Ouest, le Yukon ou le Nunavut. Ces régions sont confrontées à certains des défis abordables alimentaires les plus graves du pays. Une obstacle critique est le manque de données détaillées et spécifiques dans la région sur les prix des denrées alimentaires, les dépenses des ménages et les modèles en jugement. Les enquêtes nationales excluaient souvent les zones reculées, laissant des lacunes substantielles dans les connaissances. La collecte de données améliorées et de mesures personnalisées est nécessaire de toute urgence pour aider à améliorer la sécurité alimentaire dans le «nord» du Canada.  

L’absence de confiance alimentaire peut avoir des implications à long terme pour l’aptitude individuelle. Ceux qui vivent dans la nourriture commencent les familles sont plus susceptibles de se réjouir des conditions critiques d’aptitude physique, ajoutant des maladies infectieuses, une mauvaise aptitude orale, des maladies chroniques et des maladies centrales.  

« Le rapport du prix alimentaire du Canada est une ressource importante qui met en évidence les points qui façonnent notre formule alimentaire et ont un effet sur les prix des denrées alimentaires. Avec l’abordabilité qui est une plus grande peur pour les consommateurs, les politiques et les entreprises, le rapport offre une nourriture précieuse Prévisions des prix qui reflètent la dynamique des marchés alimentaires mondiaux, ce qui permet une prise de décision plus malheureuse à une époque de chalerges économiques et environnementales « , explique Kelleen Wiseman, directrice académique, enseignante de l’économie de l’alimentation et des ressources à l’Université de la Colombie-Britannique.

Contributing Factors

Food prices are influenced by many global factors. A few key factors include climate change, geopolitical conflicts, input and energy costs, inflation, currencies and the trade environment, food and retail distribution, food processing, policies and regulations, consumer awareness and trends, and consumer debt and disposable income. These variables play a pivotal role in shaping projected food prices in Canada.

The weakening of the Canadian dollar against the American dollar will likely reduce the buying power of Canadian importers in 2025. Currently 60% of our agri-food exports are directed to the U.S. Americans are purchasing more Canadian food, however this has also deepened our reliance on the U.S. to sustain our growth. The recent re-election of Donald Trump could widen the gap, given his commitment to reducing American farming costs, and rolling back environmental regulations. “The election of Donald Trump signals a trend toward an increasingly clustered agri-food trading world,” says Dr. Sylvain Charlebois, Project Lead, Dalhousie University. “To safeguard our food security, Canada will need to work closely with North American partners.”

Unpredictable weather events are very challenging for food producers. They impact the volume of food produced and increase the occurrence of crop disease. High temperatures, floods, and drought in West Africa and Brazil affected the price of cocoa and orange juice this year, and Western Canada wildfires blocked rail lines. “Some impacts of adverse weather are starting to be reflected in food prices, such as more expensive meat, due to lengthy droughts in Canada’s beef-producing regions,” says Dr. Stuart Smyth, Campus Lead, University of Saskatchewan. “This has resulted in fewer cattle presently producing meat.”

Shutdowns and strikes at major railways and ports have and may continue to stall millions of dollars in daily trade, slowing domestic shipments and straining Canada’s export commitments. Our manufacturing and agricultural industries have been unable to secure a strong, stable workforce following COVID-19, further reducing volumes.

Consumer movements and new rules

In May, consumers attempted to fight back against corporate grocery greed by staging a boycott of Loblaws. Alas, Loblaw’s revenues increased in 2024. However, it underscored the persistent collective frustration and distrust of large grocers among Canadian consumers. It demonstrated that consumers are paying attention to prices and actively seeking measures to reduce their costs.

In the 2024 CFPR, the Grocery Code of Conduct was noted as an area of interest. The Code has now been written and large retailers including Loblaws, Sobeys, and Metro have joined. The Code is meant to increase competition in the Canadian market, so food manufacturers and smaller grocers will have a louder voice and be able to provide more choice for consumers. It remains to be seen if the Code will provide stability, but progress is positive. Oversight to enforce the Code will be critical to its success.

“As public attention continues to focus on Canada’s food systems in relation to environmental and social impacts, the price and accessibility of food has become an indication of much larger questions for Canadian consumers and producers,” says Evan Fraser, Director of the Arrell Food Institute at the University of Guelph. “The findings of this report, while indicative of continued increases in food prices, show a gradual slowing of that inflation and reflect the impact of Canada’s efforts to increase resilience in the face of cascading crises. A strong focus on innovation can drive further development and continue a trend of high production and increased access for Canadians.”Canada’s Food Price Report marks 15 years of helping consumers understand their annual grocery bill.

 

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