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Dès mardi, les produits canadiens seront visés par des tarifs de 25%. Seul le secteur de l’énergie sera visé par des tarifs moins élevés. Dans la foulée de ces annonces, le gouvernement canadien a indiqué qu’il mettrait sa riposte en œuvre dès l’entrée en vigueur des tarifs. Que doit-on penser de la réponse d’Ottawa?
Pour Marc-André Pigeon, professeur adjoint de l’économie à la Johnson-Shoyama Public Policy School, il est en équilibre.
Si l’absence de riposte est impensable sur le plan politique, il explique que le fait de réagir de manière trop agressive ne fera qu’exacerber les tensions.
Malgré tout, le secteur énergétique canadien demeure relativement épargné. Les tarifs qui le visent seront moins élevés. D’après Marc-André Pigeon, le président américain a sans doute agi de la sorte pour éviter une envolée des prix de l’essence à la pompe.