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Plus de 200 représentants de syndicats et d’employeurs sont à Toronto pour un « sommet américain ».
L’administration Trump ne peut pas révéler les noms avant la fin mars.
Le programme mis sur pied en 2021 n’a pas donné les résultats escomptés, explique la ministre Pascale Déry.
Donna Oglive, 24 ans, lorsqu’elle est morte d’un étranglement en 1998 à Toronto.
La restriction a déjà été mise en œuvre pour les appareils cellulaires gouvernementaux contrôlés par le Canada partagé.
Ces mesures tarifaires entreront en vigueur le 4 février, selon le décret présidentiel diffusé samedi en fin de soirée par la Maison-Blanche, intitulé Imposer des droits de douane pour répondre au flux de drogues illicites à notre frontière nord.
Le président Trump a invoqué la loi sur les pouvoirs d’urgence étrangers pour imposer ces tâches de douane, affirmant qu’il cherchait à lutter contre le risque ordinaire qu’il représente par le biais de migrants illégaux et de fentanyl. Il s’agit d’une urgence nationale, a-t-il dit.
Ces coûts seront en vigueur jusqu’à ce que la crise soit atténuée, vous pouvez lire dans le document. Cependant, davantage de mesures seraient également annoncées si le gouvernement du Canada ne prend pas suffisamment de mesures pour atténuer les crises de migration illégales et les drogues illicites, le texte se poursuit sans prononcer de problèmes.
Des gangs, des passeurs, des trafiquants de personnes et des drogues illicites de toutes sortes sont devenues nos communautés à travers nos frontières. Le Canada a joué un rôle central dans ce défi en consacrant suffisamment d’attention et de ressources pour bien arrêter la vague de drogues illicites.
L’administration Trump a souvent dénoncé la présence au Canada de cartels mexicains qui exploitent des laboratoires d’opioïdes en vue d’en faire le trafic aux États-Unis. Radio-Canada a déjà révélé que plus de 350 groupes criminels sont actifs sur le marché du fentanyl au pays, y compris des cartels mexicains.
Les autorités canadiennes, en revanche, répétent que le volume de fentanyl intercepté à la frontière américaine. Pour calmer les préoccupations du président Trump, le gouvernement de Trudeau a annoncé un plan de 1,3 milliard de dollars à mi-décembre à la sécurité des frontières entre les deux pays.
Dans son décret, le président Trump a par ailleurs mis en garde le gouvernement fédéral contre toute riposte, affirmant qu’il se réserve le droit d’augmenter encore plus les droits de douane contre le Canada.
Si le Canada met en œuvre des mesures de rétorsion à l’encontre des États-Unis en appliquant les tâches sur les exportations américaines, le Canada sera en mesure de mettre en œuvre les tâches à l’exportation des États-Unis. . . . ], le président peut cumuler ou élargir la portée des listes de prix imposées.
Cependant, ces menaces n’ont pas refroidi le premier ministre Justin Trudeau qui, fort du soutien unanime de ses homologues provinciaux et territoriaux, a annoncé que le Canada imposera des contre-tarifs douaniers de 25 % sur 155 milliards de dollars de produits américains.
Ces contre-tarifs seront progressivement mis en œuvre: une première circulaire de tâches de douane de 30 milliards de dollars sera des produits américains à partir du 4 février, tandis qu’une vague de temps passera à 125 milliards de dollars de produits en 21 jours.
En déployant sa réponse en deux étapes, le gouvernement fédéral pour donner aux sociétés canadiennes la possibilité d’ajuster leurs méthodes avec leurs fournisseurs.
Nous allons défendre le Canada.
Ottawa, une première liste de produits américains dimanche qui sera la question de Counter-Cuento.
Ces points principaux concernent la première vague de contreforts, qui sera mise en œuvre mardi et sera mise en œuvre dans la chanson des 25% sur 30 milliards de dollars d’importations américaines.
La liste touche des types de produit variés, dont:
Les volailles
Produits laitiers
Sucre
Boissons à vin et à alcoolisme
Tabac
Produits cosmétiques
Douches et baignoires
Produits en plastique
Pneus
Une autre vague, qui s’appliquera à 125 milliards de dollars d’importations américaines, sera un facteur majeur aux États-Unis. Aux États-Unis, il restera à 3 semaines.
Il viendra avec des produits tels que des véhicules de tourisme, des camions et des bus, des produits métalliques et en aluminium, l’aboutissement et les légumes sûrs, les produits aérospatiaux, le bœuf, le porc, les produits laitiers et bien plus encore, souligne le gouvernement dans un communiqué.
Ces contre-mesures resteront en position jusqu’à ce que les États-Unis éliminent ses coûts opposés au Canada. [. . . ] Toutes les caractéristiques devraient fournir des mesures supplémentaires, ajoutant des caractéristiques non objectives, si les États-Unis continuent d’appliquer des coûts injustifiés au Canada, a déclaré le ministère canadien des Finances dans un communiqué de presse.
Les listes de prix imposées par la direction américaine ne sont pas justifiées et endommagent les Américains et les Canadiens. En collaboration avec des partenaires provinciaux, territoriaux et industriels, le gouvernement exécute ces listes de prix aussi temporairement possibles. D’ici là, votre réaction sera équilibrée et résolue.
Regardez le plein ici.
En 2023, la valeur des échanges commerciaux de biens et de services entre le Canada et les États-Unis s’est élevée à plus de 1300 milliards de dollars canadiens. Plus de 3,5 milliards de dollars en biens et services ont traversé la frontière canado-américaine chaque jour.
Trudeau a également déclaré que le Canada prendrait des mesures non tarifaires qui seront des minéraux critiques, sans donner de détails.
À l’heure actuelle, Ottawa abandonne le concept de suspension ou d’application des taxes sur les exportations d’énergie vers les États-Unis, une mesure à laquelle l’Alberta est fortement opposée, qui exporte un composant géant de son pétrole vers SouthArray, M. Trudeau, il a déclaré qu’il n’était pas Certes, il doit créer des divisions dans le pays et qu’il doit s’assurer qu’une province paie la valeur de ces mesures plus qu’une autre.
Le gouvernement fédéral cherche également à réduire les obstacles entre les provinces et les territoires afin de faciliter l’industrie nationale et de rendre les produits locaux plus accessibles aux consommateurs canadiens. Il a également profité de l’occasion pour inspirer les citoyens du Canada en achetant des produits fabriqués au pays.
Des dizaines de millions de Canadiens, d’un océan à l’autre, sont unis. […] Il est temps de choisir des produits canadiens, de soutenir les entreprises canadiennes, de soutenir nos agriculteurs, nos producteurs, nos travailleurs, nos entrepreneurs, nos artistes.
M. Trudeau a déclaré qu’il n’avait pas été en mesure de parler avec le président Trump depuis le jour de son investiture, mais qu’il espérait qu’il pourrait le toucher bientôt.
S’adressant aux Américains, il a rappelé que les barèmes de prix imposés par Donald Trump aux produits canadiens augmenteront le fardeau de la vie aux États-Unis. C’est une résolution qui nuira aux Canadiens, mais qui aura aussi des répercussions sur le peuple américain, a-t-il dit. Les listes mettront leurs emplois en danger et conduiront à la fermeture éventuelle d’usines de réunion aux États-Unis, a-t-il poursuivi, s’adressant directement aux Américains.
À l’échelle provinciale, plusieurs premiers ministres ont annoncé de nouvelles mesures de rétorsion contre les tarifs américains.
Le Premier ministre du Québec, François Legault, a déclaré que son gouvernement pénaliserait les fournisseurs américains qui offrent des appels d’offres ou des services. « Nous devons le voir comme une [opportunité], afin que les sociétés québécatoires mettent à jour les sociétés américaines, comme une [opportunité] d’étendre de nouveaux marchés », « il, » il, « il, » il « , » il, « il » , « il, » il « », il « , », il « », il « , », il « , », il « , », il « », « ». adage.
Un peu plus tôt, son homologue de la Colombie-Britannique, David Eby, avait annoncé une mesure en représailles aux prix du président Trump.
Plusieurs provinces, dont la Colombie-Britannique et la Nouvelle-Écosse, ont elles aussi annoncé des restrictions sur les bouteilles d’alcool en provenance des États-Unis.
En Ontario, le premier ministre Doug Ford s’est dit extrêmement déçu par la décision de M. Trump et a mis en garde les Américains contre les répercussions des mesures tarifaires sur leur économie.
Le président Trump a choisi d’imposer des listes de prix douanières qui ne font que nuire aux États-Unis et appauvrir les Américains. Le Canada n’a plus de sélection pour prendre des représailles et riposter dur.
M. Ford a déclaré que les prochains jours seront incroyablement difficiles, avec 450 000 emplois menacés dans sa province.
Pour sa part, la première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, a elle aussi exprimé sa déception face aux tarifs américains, promettant de faire tout son possible pour faire annuler cette politique destructrice pour les deux pays.
Dans un long message publié à X, elle souligne que les droits de douane sur les ressources énergétiques, qui ont été réduits de 25 % à 10 %, sont le résultat des efforts de lobbying déployés par son gouvernement depuis des semaines. Mme Smith s’est rendue aux États-Unis pour rencontrer Trump dans l’espoir d’éviter ces droits de douane.
L’Alberta est la seule province qui a signé une déclaration conjointe du gouvernement fédéral et d’autres provinces et territoires canadiens qui évoquent le concept de suspendre ou de définir l’exportation de l’exportation des ressources énergétiques vers les États-Unis si la direction de Trump devait exprimer son risque de risquer risque pour l’exécution.
En octobre, les États-Unis n’ont importé qu’environ 4,6 millions de barils de pétrole du Canada et 563 000 barils du Mexique chaque jour.
Du côté de l’opposition, les dirigeants des partis fédéraux ont condamné ces prix. Le chef conservateur Pierre Hairy a cherché à se souvenir de Trump que le Canada est le voisin le plus proche, le meilleur grand ami et l’ami des États-Unis.
M. Poilievre a également réitéré son appel à M. Trudeau pour rappeler au Parlement d’adopter des mesures de représailles et d’investir tous les prix des prix à l’aide des sociétés et des travailleurs touchés. Le gouvernement n’a pas de sou avec ces nouveaux revenus.
Le chef néo-démocrate Jagmeet Singh a déclaré que l’initiative Unity to Unity représente les prix à payer pour les États-Unis, ce qui nuira aux Canadiens et aux Américains. Nos valeurs et notre solidarité céderont face à l’attaque économique de Donald Trump, a-t-il ajouté à propos de X.
Le chef du bloqueur, Yves-François Blanchet, a pour sa part dénoncé la résolution belliqueuse et destructrice du président Trump, l’accusant de menacer l’ensemble de la balance publicitaire occidentale. Le Canada, donc, le Québec, devra répondre avec des tarifs comparables sur l’ensemble de son champ d’action, a-t-il ajouté un message à propos de X alors qu’il appelait le gouvernement fédéral aux entreprises et aux citoyens touchés.
Dans le monde des affaires, la peur est palpable samedi.
La Chambre de commerce du Canada a déclaré que ces coûts augmenteront considérablement les coûts pour tous. Ces coûts endommageront les familles, les communautés et les entreprises, peuvent être lues dans un communiqué de presse. Si le président Trump cherche vraiment à réduire les coûts pour les Américains, il rechercherait nos liens commerciaux et ne les détruireait pas.
Le Congrès du travail du Canada (CTC) est allé plus loin, appelant le gouvernement fédéral à suspendre l’exportation de ressources canadiennes essentielles aux États-Unis, y compris le pétrole, le gaz et les minéraux critiques.
Unifor, l’Union du plus grand secteur personnel du Canada, a supplié une réaction immédiate et a accusé le président Trump d’avoir introduit une guerre de l’industrie.
À Washington, même la Chambre de commerce américaine a réagi, affirmant que les droits de douane ne sont pas la solution. Ces tarifs ne vont pas régler les problèmes et vont plutôt faire augmenter les prix pour les familles américaines et perturber les chaînes d’approvisionnement.
Au Mexique, la présidente Claudia Sheinbaum a rejeté les accusations de Donald Trump, qui avait établi un lien entre son gouvernement et l’organisation du crime. S’il y a un lien à faire, c’est entre les marchands d’armes américains qui vendent des armes très dures à ces groupes, dit Crook dans un message à X.
Si le gouvernement américain souhaite s’attaquer à la crise du fentanyl, ajoute Mme Sheinbaum, il pourrait lutter contre la vente de stupéfiants dans les rues des grandes villes, ce qu’il ne fait pas.
Elle demande à son ministre de l’Economie de mettre en place des mesures de rétorsion, en y ajoutant des prix et des mesures non tarifaires opposées aux États-Unis. Mme Sheinbaum ne précise toutefois pas la nature précise de ces mesures.
Elle appelle enfin les États-Unis à collaborer avec son pays pour lutter contre les trafiquants de drogue, proposant au président Trump de créer un groupe de travail qui réunirait nos meilleures équipes de santé et de sécurité publiques.
Ce n’est pas avec l’imposition de droits de douane que les problèmes sont résolus mais en discutant et en dialoguant comme nous l’avons fait ces dernières semaines.
À Pékin, le ministère chinois du Commerce a dit s’opposer fermement aux nouveaux droits de douane américains de 10 % sur les produits chinois et a promis de riposter avec des mesures correspondantes.
Pékin enregistrera également un contraire à Washington auprès de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), selon le ministère.