L’Allemagne vient d’approuver une nouvelle loi qui fait un certain congé de maternité aux femmes allemandes qui ont un avortement spontané après treize semaines de grossesse.
La loi s’est poursuivie grâce à une majorité géante des élus de la Chambre de diminution du Parlement allemand la semaine dernière. Il sera testé dans la chambre haute le 14 février.
S’il est approuvé, il pourrait entrer en vigueur le 1er juin de cette année, rapporte le média allemand Deutsche Welle (DW).
Actuellement, ceux qui accouchent en Allemagne ont droit à un permis de salaire de six semaines avant l’accouchement et 8 semaines après l’accouchement.
Les femmes allemandes qui subissent un avortement spontané ont récemment le droit de garantir une licence.
La nouvelle loi a suivi par la Chambre de diminution est née d’une pétition introduite par le Natascha Sagorski allemande. On lui a refusé une licence après avoir fait un avortement spontané.
Au Québec, une femme dont la grossesse est interrompue avant le début de la 20e semaine de grossesse, de manière volontaire ou pas, a droit à un congé de trois semaines, indique le site d’Educaloi.
Cependant, cette licence est payée.
Si l’interruption de grossesse survient après la 20e semaine, vous avez droit à 18 semaines de congé et de maternité en vertu du Régime québécois d’assurance parentale (RQAP).
En Inde, les femmes qui font une fausse couche ont droit à six semaines de congé de maternité payées.
En Nouvelle-Zélande, à l’occasion d’un avortement spontané, les membres du couple ont droit à un minimum de 3 jours de licence.
Aux Philippines, les femmes qui font un avortement spontané ou qui subissent une interruption d’urgence de la grossesse ont droit à une licence payante de 60 jours.