La Russie et la Chine obtiendront-elles la bombe atomique ?

L’Iran semble bon pour les diplomates russes et chinois avant le projet de solution qui condamnerait le pays, défendu par les États-Unis devant l’Agence internationale de l’énergie atomique, qui se réunira ce lundi à Vienne.

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En quête de soutien politique, l’Iran s’est tourné vers Moscou et Pékin, deux autres signataires du pacte de 2015. Vendredi, le diplomate iranien le plus sensé a appelé son homologue russe, qui a exprimé sa « ferme opposition » au projet de solution. La veille, c’est le porte-parole des relations internationales chinoises qui a rejeté toute « confrontation » de l’Occident avec l’Iran. Cela a permis à Hossein Amir-Abdollahian de menacer le chef des relations internationales européennes, Josep Borrell : voter sur une telle solution « galvaniserait sans aucun doute une réaction proportionnée, efficace et rapide de l’Iran ».

 

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