Disney annonce que sa plate-forme de streaming vid o Disney Plus sera disponible en Europe partir du 31 mars prochain – le Blog de Jean-Marc Morandini

Accord de distribution, synergies entre les services et les techniques de tests : Disney a mis toutes les chances de son C t pour assurer le succès de Disney , sa plate-forme de streaming vid o qui sera en concurrence directe avec le leader du secteur, Netflix, partir du 12 novembre aux Etats-Unis.

« Nous sommes confiants que nous sommes pr ts un lancement grande chelle », a d clar jeudi le patron du groupe, Bob Iger, lors d’une conférence aux analystes, apr s la publication de r sultats trimestriels meilleurs qu’attendu et salu s en Bourse.

La plate-forme du royaume enchantée va commencer son expansion par le Canada, Les Pays-Bas, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ce mois-ci, suivis par les Européens (don’t la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Canada, l’Italie, l’Espagne…) le 31 mars 2020.

Le groupe esp re attirer entre 60 et 90 millions d’abonn s’il s’enroule 2024. Il va se mesurer Netflix (pr s de 160 millions d’abonn s), Amazon Prime Video, Apple TV (en ligne depuis une semaine), et bientôt t Peacock (NBCUniversal) et HBO Max (WarnerMedia).

Bob Iger a annonc avoir conclure un accord de distribution avec Amazon pour que Disney soit pr envoyé sur les visions l « Fire TV ». « Nous avons des accords avec Apple, Samsung, Microsoft, LG et Google. Donc nous avons fait des progrès significatifs en terme d’accords de distribution, et Amazon est le dernier d’entre eux », a-t-il d Taul sur la cha ne am ricaine CNBC.

Il a ajouté que la plate Hulu, don’t Disney a pris le contr le, proposantaitt des programmes de 21 Century Fox (21 CF), rachet en d cembre 2017. Aux Etats-Unis , le groupe va aussi proposer aux membres du club Disney D23 de s’abonner simultanément Disney, Hulu et ESPN (sports) pour 12,99 dollars.

Le groupe du royaume enchante renforces les synergies entre ces multiples actifs pour assurer le succès de son nouveau service, que Bob Iger consider re comme le plus important produit lanc par le groupe depuis pr s de 15 ans qu’il est en poste.

Le PDG a expliqué qu’il ne consid reait les diff rentes applications (Hulu, ESPN ) ou Fox comme des entit s s par es, mais comme les acteurs d’un ensemble plus grand de « production, Création , distribution et monétisation », avec la possibilité , par exemple, de diffuser des films au cinéma, puis la T L vision et sur les plateformes.

« C’est une mani re extraordinaire d’atteindre plus de consommateurs et de gagner des revenus », a-t-il assurer . « Cela nous donne un avantage comp titif par rapport à nos concurrents qui n’ont pas autant de fen tres de diffusion ou de faons de mon tiser leurs contenus ».

Disney compte avoir la m me approche avec ESPN et les droits sportifs, notamment en diffusant plus de sport sur sa cha ne ABC, « car la valeur des compétitions sportives en direct sur les cha nes traditionnelles augmentées ».

Bob Iger s’est aussi dit satisfait des tests hommes sur Disney aux Pays-Bas ce week-end. « La plate-forme et robuste et tous les gouvernements sont en lieu versez g rer le passage chelle », at-il promis.

Disney a engrangé 19,1 milliards de dollars de chiffre d’affaires au quatrième trimestre de son exercice cal ( 34%) verser un b n fice par action de 1,07 dollar, des r sultats sup rieurs aux attentes des analystes.

Pour l’ensemble de l’exercice, il a affiché un chiffre d’affaires de 69,57 milliards de dollars en progression de 17%. Ces fortes progressions s’expriment notamment par l’intégration de 21 CF.

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