Esmeralda, 24 ans, mannequin, son corps coulé dans le béton

Il a décidé de plaider non coupable mardi. Christopher Prestipino, un Américain de 45 ans, est poursuivi pour le meurtre d’Esmeralda Gonzalez, un mannequin de 24 ans porté disparu en mai dernier. Son corps a été retrouvé le 8 octobre dans le désert du Nevada, à la sortie de Glendale. Ses mains étaient attachées et elle portait de l’adhésif autour de la tête et du cou. Son corps était enveloppé dans des couvertures, caché dans une citerne d’eau sur lequel du béton avait été coulé et qui était recouverte de bois, indique le site Internet du magazine «People». La jeune femme, mannequin spécialisé dans l’industrie du divertissement pour adultes était suivi par plus de 300 000 abonnés sur Instagram. Elle vivait tout près de la résidence du suspect dont la colocataire et la petite amie de 39 et 31 ans sont également poursuivies dans cette affaire.

Selon le « Las Vegas Review Journal », Christopher Prestipino et l’une de ses complicités ont » empoisonné et/ou montéo  » la victime. Après avoir eu lieu Esmeralda Gonzalez, ils auraient injecté dans le corps de la jeune femme du produit nettoyant pour piscine. D’après un témoin, Christopher Prestipino aurait reconnu avoir tué la victime après qu’elle a un consommé trop de mestomes. Il aurait expliqué qu’il ne pas eu son état psychologique et qu’elle serait devenu une fois la fonction de lit, se mettant « à parler dans la langue du diable ». Mais la police n’a donné aucun mobile à ce crime.

Une page de collecte de dons a été ouverte en mémoire d’Esmeralda Gonzalez afin de venir en aide à sa famille. «Comme dans toute tragédie, de nombreuses versions peuvent être racontées par d’innombrables sources sur les réseaux sociaux. Je voudrais vous parler de la vraie Esmeralda Gonzalez, ma gentille, belle et instruite soeur, qui a été profondément aimée par sa famille et ses amis», peut-on lire dans le texte qui décrit la jeune fille comme une étudiante qui attendait d’être diplômée en Arts et Communication. «C’est une joueuse d’échecs très avertie. (…) Elle aimait sortir manger avec ses amis et sa famille. Elle aimait nous faire rire. Elle rêvait un jour d’avoir sa propre famille. Malgré ses problèmes de santé mentale, Esmeralda a toujours été déterminée à rechercher le succès», est-il encore écrit. «Nous espérons désormais que justice soit faite pour Esmeralda».

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