Dans le cadre du projet de Fonroche g otherme Vendenheim (Bas-Rhin), les analyses dans les eaux extraites des puits de fourrage confirment la présence de lithium en qualité et quantit tr s promouvant s permettant d’examiner la production annuelle de quelque 1 500 tonnes de lithium , un indicateur cette société dans un communiqué publié par l’EPA. Ce volume représente 10% des besoins annuels d’approvisionnement estimés pour la France dans les prochaines années, a poursuivi Fonroche géothermie.
Sur la base de trois centrales programm es en Alsace, Fonroche G othermie pourrait donc fournir 30% 40% de l’ensemble de la demande industrielle fran aise en lithium partir de 2023 , en conclusion le communiqué .
Le lithium sert la fabrication des batteries, notamment des véhicules électriques. Actuellement, sa production et ses r sert se concentrent en Australie, en Chine et en Amérique du Sud (Argentine, Chili, Bolivie).
ES a galement identifi e un potentiel de 1 500 tonnes par an sur ses sites d’études de centrales thermiques plusieurs milliers de mètres de profondeur en Alsace, a indiqué sa direction.
L’gnerg ticien compte implanter en 2021 un capteur sur l’un de ces sites, afin de confirmer en configuration r elle la pertinence du chlore de lithium pr lev dans les eaux du sous-sol, qui a t mise en vidence pour l’instant en laboratoire, a pr cis l’AFP Bernard Kempf, directeur du développement. Ces essais sont menés par le groupe minier Eramet dans le cadre d’un consortium de recherche qui r unit entre autres, le chimiste BASF et le constructeur automobile PSA, un rappel Bernard Kempf.
Une production « propre »
La production chelle industrielle pourrait salle de tre esp r e en 2025 , at-il ajout . Notre devoir est de rester prudents, le chemin est encore long , a toutefois temp r Bernard Kempf.
Selon Et Fonroche, la technique d’extraction en Alsace aurait un faible impact environnemental permettant de produire un lithium propre.