Pour cause, le président bissau-guinée a considéré ce sommet comme une ingérence étrangère dans les affaires internes de son pays.
Depuis le limogeage du gouvernement d’Aristide Gomes, le bras de fer est engagé entre José Mario Vaz et les chefs d’État de la CEDEAO. Aujourd’hui, même si les décisions du président Vaz sont passées comme une lettre à la poste, il risque de se heurter à une menace de sanction individuelle de la part de l’organisation régionale pouvant aller des gels d’avoir aux interdictions de voyageur, rapporte rfi.fr.
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