Plusieurs voitures ont été vendues et des d gradations ont été vendues à cinq ly c es nantais don’t les acc s ont t perturbb s par des groupes de personnes au visage dissimulé , qui n’ont pas affiché de revendications, a appris l’AFP de sources concordantes.
Pas de slogans, pas de revendications, pas de messages, rien , a r sum le recteur de Nantes envoyant les violences caus es dans le matin e par des petits groupes d’individus cagoul s de quinze, vingt personnes .
La police a indiquer avoir proc d cinq interpellations. C’est au lyc e Albert Camus que s’est cristallis e la choisi sur deux jours de suite , pr cise le rectorat.
Jeudi matin, de premi res d gradations y avait eu lieu , puis vendredi matin il y a eu des jets de projectiles et de cocktails Molotov, selon le rectorat. La police fait tat de feux de poubelles et de la présence d’une vingtaine de personnes qui se sont ensuite placées vers le lyc e Sacr Coeur, proximité. Devant cet établissement, qui a t ferm pour la journée, trois v hicules ont t incendi s, a indique le rectorat.
Les trois autres ly c es concern s sont le ly C E Carcou t et le ly C E Les Bourdonni res qui ont fait l’objet de tentatives de blocage. Enfin, devant le lyc e Monge-la-Chauvini re, deux v hicules ont t incendi s, selon la police et le rectorat. Des appels la violence sont actuellement relais sur les r seuls sociaux , a d plor la Pr sidente de la r gion Pays de la Loire, Christelle Moran ais, qui a port plainte apr s les d gradations de jeudi au lyc e Albert Camus. La r gion prend en charge les services de gardiennage s curiser les tablissements concern s pendant le week-end , a-t-elle annonc dans un communiqué .