Si Emmanuel Macron veut faire changer, il a r ussi. Ses propos dans The Economist sur l’OTAN qui serait en tat de mort C R brale ont t tr s comment s, de Washington Moscou en passant par Berlin.
La Chancellerie re Angela Merkel a ainsi que nonc des propos intempestifs lors d’une conférence de presse Berlin avec le Secrétaire g n ral de l’Otan Jens Stoltenberg jeudi soir.
Je ne pense pas qu’un tel jugement intempestif soit n, m me si nous avons des problèmes, m me si nous devons nous ressaisir , a-t-elle d’avouer , dire ne partager pas les termes radicaux d’Emmanuel Macron.
Jens Stoltenberg a lui estime que l’OTAN reste forte et que les Etats-Unis et l’Europe ensemble plus que nous ne l’avons fait depuis des cennies .
C Etats-Unis , le Secrétaire d’Etat Mike Pompeo a jug, lors d’une conférence de presse Leipzig (Allemagne), que l’OTAN, reste historiquement un des partenariats stratégiques les plus importants . Il en a profit pour rappeler l’exigence de Donald Trump ( qui a lui-même l’OTAN d’organisation obsol te en janvier 2017) aux pays membres de l’Alliance de mieux partager le fardeau de son financement.
Les seuls se ranger du C t du pr sident fran ais ont t les Russes. La porte-parole de la diplomatie de Vladimir Poutine, Maria Zakharova, a salu de son C t sur sa page Facebook des paroles en or or. Sinc res et qui refl tente de l’essentiel. Une d finition prise de l’état actuel de l’OTAN .
Dans ses propositions publiées dans le magazine The Economist, Emmanuel Macron regrette qu’il n’y aucune coordination de la décision stratégique des tats-Unis avec les partenaires de l’OTAN . Nous assistons une agression men e par un autre partenaire de l’OTAN, la Turquie, dans une zone o nos intérêts sont en jeu, sans coordination , a-t-il souligne , en r f rence l’intervention militaire turque en Syrie. Ce qui s’est passé est un norme problem me pour l’OTAN , un encore martel le Pr sident fran ais un mois d’un sommet de l’Alliance pr vu Londres d’mais d cembre.
Dans le m me entretien, Emmanuel Macron voque galement le d ficient public en estimant que la r gle des 3% est un d bat d’un autre sil . Des propos qui l aussi ne plaisent pas du C t de Berlin