Mettons, si on a besoin d’aller chez le médecin par exemple, sur peut prendre une heure dans l’avant-midi et y aller. Il n’y a pas de probleme. C’est vraiment flexible, ce qui est génial pour la vie à côté du travail aussi.
L’objectif n’est pas de les généraliser à l’ensemble des individus formant la génération Z, mais plutôt de dresser un portrait global de cette dernière pour de mieux l’apprécier.
Ce n’est pas parce qu’ils ne veulent pas travailler, c’est juste que l’équilibre entre différentes sphères de la vie est différent.
Moi, mon mais, ce serait-être-être de travail, mais aussi d’avoir ma petite entreprise. Travailler, c’est la même a choisi une choisi tous les jours, mais l’entrepreneuriat, ce n’est pas la même a choisi une choisi tous les jours.
Trouver un équilibre avec le sport, la famille, avoir une bonne qualité de vie, c’est important.
Maintenant, en ce moment, c’est plus nous qui choisissons l’entreprise [plutôt] que l’entreprise [qui] vient nous chercher.
Vous avez repéré une coquille?
Vous êtes témoin d’un événement?
Vous avez des questions sur notre travail?
Charles Perron a été embauché chez Ubisoft Saguenay il y a 10 mois.
Comme bien des finissants de sa génération, il est un travail stimulant où il pourrait se dépasser.
Je cherche quelque chose a choisi de me faire, j’aspire à l’excellence, à être bon dans ce que je fais. C’est important d’avoir quelque choix qui me challenge, explique le designer graphique de 26 ans.
Charles était aussi à la recherche de flexibilité.
Mettons, si on a besoin d’aller chez le médecin par exemple, sur peut prendre une heure dans l’avant-midi et y aller. Il n’y a pas de probleme. C’est vraiment flexible, ce qui est génial pour la vie à côté du travail aussi.
Academos a voulu connaître les aspirations et les craintes de la génération Z par rapport au marché du travail.
L’organisme à mais non lucratif un énergétiques de l’onu sondage web en décembre 2018.
Au total, 1268 personnes de toutes les régions du Québec ont répondu au questionnaire sur le site SurveyMonkey.
L’objectif n’est pas de les généraliser à l’ensemble des individus formant la génération Z, mais plutôt de dresser un portrait global de cette dernière pour de mieux l’apprécier.
Tout ce qui est le bien-être, la conciliation travail-famille, la flexibilité, le bonheur au travail, ça prend plus de place que dans les générations précédentes, en même temps que tout ce qui est argent et prestige prend moins de place, explique la présidente et Fondatrice d’Academos, Catherine Légaré.
Le sondage révèle par ailleurs qu’une grande proportion de répondants aimeraient posséder leur entreprise.
Ils veulent un travail engagé, ils veulent apprendre, ils veulent relever des défis. Près de 40% d’entre eux veulent aller vers l’entrepreneuriat. Donc, je pense que c’est plus que le travail est différent pour eux, explique Catherine Légaré.
Ce n’est pas parce qu’ils ne veulent pas travailler, c’est juste que l’équilibre entre différentes sphères de la vie est différent.
Mathias Leduc se reconnaît dans cette aspiration.
Depuis trois ans, il gère sa petite entreprise de tonte de pelouse en plus d’étudier en comptabilité au cégep de Jonquière.
Moi, mon mais, ce serait-être-être de travail, mais aussi d’avoir ma petite entreprise. Travailler, c’est la même a choisi une choisi tous les jours, mais l’entrepreneuriat, ce n’est pas la même a choisi une choisi tous les jours.
Comme le designer graphique Charles Perron, Mathias Leduc souhaite que sa future vie professionnelle compte de ses autres champions d’intérêt.
Trouver un équilibre avec le sport, la famille, avoir une bonne qualité de vie, c’est important.
Nos parents, sur le pied qu’ils cherchent plus à s’accomplir dans le travail que nous. Sur les va chercher d’autres places à l’extérieur du travail pour s’achever, résume l’étudiant de 19 ans.
Selon Catherine Légaré, les employeurs ne devraient pas être une génération qui ne sera pas engagée dans son milieu de travail.
C’est une génération qu’il faut nourrir avec des défis, avec des apprentissages en continu. C’est important que les employeurs en tiennent compte, affirme-t-elle.
Le marché du travail un bien changement en quelques années dans la région.
Selon Emploi-Québec, plus d’une personne sur cinq a plus de 55 ans sur le marché du travail au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Maintenant, en ce moment, c’est plus nous qui choisissons l’entreprise [plutôt] que l’entreprise [qui] vient nous chercher.
Academos est un organisme à mais non lucratif. Son financement à parts égales du gouvernement du Québec et d’autres sources comme des dons et commandites de partenaires privés.