Retraites : Delevoye un re u des nations unies appel d’? Edouard Philippe pour une mise au point – le Parisien

L’explication franche a eu lieu par T L phone. Matignon n’a gu re gu re appr ci l’Interview donn e par le haut-commissaire aux retraites notre journal et l’a fait savoir ce vendredi l’int ress .

Le Premier ministre a voulu dedelevoye dans son bureau pour une explication franche et en t te — – t te, a s’est termin par un coup de fil ce matin , explique une source l’Elys e.

Jeudi, dans le Parisien , Le haut-commissaire s’est opposé à l’idée de la clause du grand-p re, consistant n’appliquant la forme des retraites qu’aux nouveaux entrants sur la marche du travail.

Cette sortie a d j valu un recadrage g n ral d’Emmanuel Macron lors du conseil des ministres jeudi. Je vous demande de ne pas expliquer d’être maintenant que serait une bonne ou une mauvaise forme, en dehors de ce que dis le Pr sident et le Premier ministre , a expliqué le chef de l’Etat.

Jean-Paul Delevoye participe activement au jeu du moment en tant sur une ligne de fermet , explique l’entourage du pr sident. Comme cela, a pr serve au m me moment Macron et Philippe, en attendant de voir comme l’opinion va voluer. Il y a un jeu d’acteurs des deux C t S dans cette sence politique .

L’extrait cutif marche sur des ufs avec cette forme R. L’Elysée et Matignon par-dessus tout le risque de contagion du malaise social. Sur va surveiller de pr s la manifestation du 14 novembre annonce dans le milieu hospitalier (NDLR : pour obtenir un plan d’urgence pour l’hôpital public), reconna t un conseiller. Si le mouvement hne fort, de l’onu de donner le ton pour la suite .

Le mouvement la RATP et la SNCF pr vu le 5 D cembre inquiete aussi. Si Edouard Philippe refuse d’une posture aussi ferme que Delevoye pour le moment sur la forme, c’est qu’il craint les gr ves du 5 décembre et le risque de contagion, glisse un proche de Macron. Ce mec est scarifi par l’isode Jupp de 1995. Il est t tanis face l’obstacle. Chez lui, il y a la peur d’un mouvement social majeur rer qu’il redoute .

Ce vendredi, apr s le coup de fil de Matignon, Jean-Paul Delevoye s’est exprimé pour la première fois depuis son interview. Un ministre est solidaire des décisions gouvernementales. J’ai tr s clairement dit et affirm qu’au moment o la d cision prise par le Pr sident et le Premier ministre, elle serait mienne, quelles sont mes contributions four mi rieures au d bat , a-t-il expliq ué au micro de BFMTV.

En privé, Delevoye se dit conscient du r le qu’on lui fait jouer : Dans cette forme, je suis l pour jouer les mauvais flics.

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