Élections Canada fait l’objet de plusieurs cyberattaques, a récemment révélé l’establishment, car il n’est pas la seule cible de tentatives d’ingérence dans le système parlementaire canadien par l’intermédiaire de pays étrangers.
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L’ingérence étrangère préoccupe beaucoup de gens à Ottawa en ce moment. En plus du comité spécial de parlementaires qui a lu la datation entre le Canada et la République populaire de Chine, un autre comité, la procédure et les affaires de la Chambre, a tenu plusieurs réunions cet automne sur les élections sur l’ingérence étrangère.
Appelé à témoigner devant ce comité en novembre, le président-directeur général Stéphane Perreault a révélé que le site Web d’Élections Canada subissait des cyberattaques « tous les jours », mais que jusqu’à présent il n’y avait eu aucune « brèche » dans son infrastructure informatique.
« Nous n’avons aucun mécanisme pour savoir s’ils viennent du Canada ou du Canada. Je suppose qu’ils viennent en grande partie d’Array », a déclaré M. Perreault à propos de ces attaques.
INTERFÉRENCE
En outre, plusieurs éléments vont dans le sens des interventions de la Chine lors des dernières élections fédérales. La chaîne Global News a révélé que le premier ministre Justin Trudeau avait été informé par les installations secrètes canadiennes du financement secret chinois de 11 candidats. Ce dernier a nié avoir été informé.
Le cas du député conservateur Kenny Chiu, qui a été défait dans la circonscription de Steveston–Richmond-Est en Colombie-Britannique, soulève également de nombreuses questions. Très critique à l’égard du gouvernement chinois, il aurait été victime d’une croisade de désinformation à travers Pékin parmi son électorat chinois. ce qu’il a officiellement démenti par l’intermédiaire des représentants diplomatiques chinois.
Le gouvernement canadien affirme que ces tentatives d’ingérence potentielles auraient affecté les résultats des élections de 2015 et 2019.
Cependant, à la mi-décembre, la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, a qualifié les tentatives d’ingérence de « profondément inquiétantes ». Il a dit avoir discuté de la question avec son homologue chinois lors du dernier G20 en Indonésie.
N’EST-CE PAS SURPRENANT ?
Autre accusation d’ingérence : la Gendarmerie royale du Canada a ouvert une enquête sur des « postes de police » non officiels du Parti communiste chinois qui auraient harcelé des expatriés en sol canadien.
C’est l’organisation de défense des droits de la personne Safeguard Defenders qui a révélé qu’il y aurait cinq postes de police de ce type, auxquels s’ajoutent Toronto et Vancouver. Information également démentie par l’intermédiaire de Pékin.
De telles allégations ne surprennent pas l’ancien ambassadeur du Canada en Chine de 2012 à 2016, Guy Saint-Jacques, qui a suggéré au Canada de faire preuve de prudence dans son témoignage devant un comité parlementaire. du réseau chinois au Canada, mais aussi dans nos établissements [. . . ] Les Chinois utilisent toutes sortes de moyens pour créer des ingérences. Ils s’approprient le fait que nous sommes une société ouverte. »
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