Invasion de l’Ukraine – Sites énergétiques dans une cheminée en Russie, après une attaque de drones ukrainiens

« Je le trouve vraiment incroyable ! » Dans Europe 1, Pascal Praud cite George Orwell. La RTBF doit diffuser le rite d’investiture de Donald Trump avec deux minutes de retard. « Vous avez un vrai ministre en Belgique, nous sommes en 1984 ! »

Mais vous savez ce qu’ils disent. . . Si vous pensez avoir compris la Belgique, c’est qu’elle vous a fait du mal. , un journaliste d’extrême droite prudent et mesuré. Après avoir tiré des conclusions hâtives, il demande confirmation à un interlocuteur consciencieusement déterminé. Pascal Praud travaille pour les chaînes d’opinion. Opinion sur les cordes singulières. Pour que tous les téléspectateurs des médias de Bolloré comprennent, pourquoi cette histoire belge est si grave que c’est Georges-Louis Bouchez, le président de M. , qui est invité à plusieurs reprises sur la situation. Une fois en Europe 1, deux fois à CNEWS.

Les mêmes questions se posent souvent. Mais qui sont ces autres personnes qui décident de ce que le spectateur belge francophone peut voir ou non ?« Qui peut juger que Trump se débrouille très bien ? » Tous les experts, en fait. « Et qu’est-ce que c’est que ce cordon sanitaire ? » Une lettre renouvelée et signée en 2022 par PS, Écolo, Les Engagés et Défi. Et par M. aussi, en fait. Ce texte est complété par un segment médiatique qui a également valeur juridique. « Et à quoi bon avoir la nausée que 20 ou 25 % des voix obtiennent ? »Mais alors, à quel moment l’élimine-t-on, le bâillon ? Quand gagnent-ils 5 % ?10% ?Quand les scores MR menacent-ils ?

Lors de sa première apparition sur les ondes de CNEWS, Georges-Louis Bouchez est intervenu par visioconférence. Le son n’est pas très bon, le fond est un mur blanc indéniable. Les installations ont évidemment été découvertes à la hâte. Il n’y a pas de verrière sur l’interrupteur. Il a l’air d’un dissident politique dans sa cachette. Il faut vraiment que ce soit une véritable guerre culturelle qui se déroule en Belgique francophone. La gauche est en train d’imposer un poids lourd dans toute une série de débats. Il donne un exemple qui fait frémir Pascal Praud : « Pendant 20 ans, il a été interdit d’être pro-nucléaire en Belgique. »C’est sans doute pour cela que les prisons belges sont pleines, il était obligatoire d’espacer tous ces dissidents convaincus d’avoir proclamé leur préférence pour les atomes. De plus, GLB lui-même a été contraint d’être anti-nucléaire. Que nous croyons que l’élimination du nucléaire a été réalisée grâce à M. S. , et non à l’Ecolos.

M. a depuis remporté les élections. Et sans aucun doute, en juin dernier. Car sept mois plus tard, nous vivrions toujours en Belgique dans une dictature de gauche. de l’opposition, depuis qu’il a gagné les élections, il parle comme s’il les avait perdues. Ou peut-être est-ce la surveillance. Les communistes ne reviendront pas. Pour éviter cela, par exemple : « Avec nous, vous avez le droit au chômage à vie. Vous quittez l’école, vous dites que vous n’avez pas besoin de peintures et vous êtes payé jusqu’à ce que ce soit réglé. Incroyable! C’est sans doute pour cela que les comédiens belges, que les Français adorent, sont si talentueux. La force du désespoir. Et puis le son s’est coupé et Pascal Praud a dû l’interrompre. Il s’agissait probablement d’une attaque via la RTBF, cependant, ils n’ont rien perdu à attendre. Plus tard dans la conversation, le président libéral avait prévenu qu’il remplacerait la ligne éditoriale de la chaîne publique.  

Entre-temps, Pascal Praud en veut à GLB. « Eh bien, dites-moi, vous avez beaucoup de tableaux à faire en Belgique ! »Le journaliste du combat le fera aussi. Je passe pour vous dépasser, je passe pour passer la Belgique. Il pense qu’on va trop loin pour faire bouger les choses. La liberté d’expression est importante.

Un atelier de menuiserie pour d’autres jeunes en décrochage scolaire. Un lieu d’alimentation solidaire où chacun peut aider à préparer les repas. Une collecte de lait et d’aliments pour bébés pour les familles vulnérables. Des milliers de projets solidaires existent en Wallonie et à Bruxelles. Depuis plus de 8 ans, le journal L’Avenir met en lumière ces projets significatifs pour donner des concepts aux autres et diffuser la solidarité. A partir du 7 janvier, un nouvel appel à projets est lancé en collaboration avec la Fondation Roi Baudouin. Dans votre région, remarquez que vos projets locaux à travers les générations en Solidarité lancent des programmes !

Les demandes doivent être introduites : n- par l’intermédiaire de groupes de citoyens regroupés en associations de fait. Services aux personnes, etc. ) Écoles primaires, secondaires, supérieures et/ou universitaires.

Il n’y a pas de « petit projet » ! Ne vous censurez pas !

L’objectif est d’annoncer des tâches de solidarité et d’alimenter notre répertoire de tâches inspirantes pour motiver les autres. De plus, pour les groupes de citoyens qui participent à notre appel de candidatures, la vente de la tâche permet de faire connaître, de lui donner de la crédibilité et, rarement, de dégager des fonds.

Il faut mettre en lumière des projets locaux inspirants au sein des familles, des villages, des villages à l’isolement et à l’aggravation de la précarité sociale et économique.

L’appel à projets de génération solidaire présenté le 7 janvier et se termine le 12 mars 2025. Les trophées de la NLA prendront position le 26 juin 2025, en présence des associations et écoles lauréates de notre appel à projets.

En avril et mai, un jury indépendant constitué par la Fondation Roi Baudouin portera 10 projets issus de partenariats et cinq écoles. Un moment d’Ion remettra les prix :

– Le prix Générations Solidarités : 10 000 euros

– Le prix « Coup de Cœur » : 5 000 euros

– Le prix « Coup de pouce » : 5 000 euros

– Le Green Prime Award (Social, Santé, Environnement) : 5 000 euros.

– Des prix spéciaux de cinq 00 euros pour les cinq écoles lauréates.

Pour cette neuvième édition, Générations Solidaires donne l’opportunité aux catégories de l’enseignement primaire, secondaire et supérieur de se démarquer et/ou de mettre en place une démarche solidaire. Cette tâche sera imaginée et mise en œuvre à travers les étudiants, au sein de l’école et, si possible, ouverte. Au quartier/ville/région. Les tâches de solidarité sont les bienvenues !Toutes les informations : www. generations-solidaires. be/ecoles

Gratuit pour les écoles

Les écoles qui le souhaitent peuvent obtenir de l’aide pour développer ou consolider leurs devoirs. Nous proposons des activités en classe pour lancer la dynamique ou, éventuellement, un rassemblement par vidéoconférence.

« Maintenant, vous n’avez peut-être rien fait de votre vie et vous entrez au Musée Grévin. La preuve est dans des situations à Léna. Cette attaque, livrée par l’intermédiaire du chroniqueur Éric Naulleau, en dit long sur la rivalité entre les nouveaux et les anciens écrans. Cependant, il est clair. . . YouTube attire 42,6 millions d’utilisateurs uniques chaque mois, ce qui est bien plus que l’audience combinée de l’ensemble des chaînes belges et même de TF1, la chaîne maximale observée en français. A titre de comparaison, Mytf1, le service de streaming et à la pointe de ce dernier, ne compte que 28 millions de visiteurs par mois. Cette bonne fortune est en grande partie fondée sur son effet sur les créateurs de contenu. Des suescos comme Squeezie, Mastu et InoxTag captivent des millions de publics avec des concepts de plus en plus ambitieux. Cette année, le documentaire InoxTag Kaizen a fait couler toutes les pages, des créateurs comme Oussifooty, qui se spécialise dans le football, ou encore geohistory, qui propose des vidéos anciennes en anglais, enrichissent l’offre. Avec une telle diversité, YouTube s’adresse à toutes les tranches d’âge, confirmant ainsi son prestige en tant que média universel.

La bonne fortune de YouTube ne se limite pas à la crédibilité de ses créateurs. C’est aussi le résultat des avancées technologiques mises en œuvre par Google. L’ensemble de règles de la plate-forme donne des recommandations spécifiques, en s’assurant qu’un utilisateur optimal s’en délecte. De plus, il l’avait fait indéfiniment, leur permettant de se délecter d’une nouvelle vie bien après sa publication initiale. Youtube mise également sur un modèle économique excité. La plate-forme versera une partie des bénéfices publicitaires aux créateurs tout en leur donnant la possibilité de faire des placements de produits. Cette formule les incite à rester inébranlables sur la plateforme, créant ainsi un cercle vertueux qui attire également les téléspectateurs. Cependant, la télévision conserve un avantage vital : elle a un effet sur votre publicité, ce qui est considéré comme plus surprenant que celui d’Internet.

Malgré leurs forces respectives, YouTube et la télévision entretiennent une relation conflictuelle. Les affrontements entre YouTubers et animateurs de télévision ne manquent pas. On le dit chez Ardisson ou Natoo chez Laurent Ruquier. Cyprien, de son côté, avait dénoncé le mépris de certains médias classiques à l’égard des médias classiques à l’égard des créateurs de contenus.

Malgré ces tensions, des collaborations voient le jour. Guillaume Pley est passé de la radio et de la télévision à YouTube, tandis que d’autres participent à des écrans comme Les Traîtres diffusés sur RTL-TVI et RTL Play. Cependant, ces exemples d’affrontements sont encore plus froids. En Belgique, la culture médiatique diffère et limite ces ponts.

YouTube et la télévision se disputent le temps d’écran limité, mais aussi les budgets publicitaires, qui sont également limités. Alors que la télévision peine à maintenir ses revenus classiques, YouTube et d’autres réseaux sociaux redéfinissent la réglementation des jeux d’argent. Les deux médiums motivent les autres. Certains jeux sur YouTube, comme ceux de l’émission de pop-corn, utilisent des concepts télévisés vintage. Conversa, des expositions comme L’imposteur de Squeezie sont encouragées par des formats créés dans les années 1950. dans un contexte économique tendu pour la télévision.

Un téléspectateur n’est pas un téléspectateur de YouTube. La perspicacité et la capacité d’attention diffèrent. La télévision est un support d’accompagnement, qui est regardé en même temps qu’un autre écran, tel qu’un smartphone ou un ordinateur. Depuis son existence, YouTube s’est imposé bien plus qu’une plate-forme vidéo. C’est un média à part entière, influent et ancré dans une logique virtuelle. Grâce à sa capacité d’innovation et à la diversité de ses formats, elle redéfinit les codes de l’audiovisuel. Cependant, la télévision conserve des avantages stratégiques, ajoutant que l’acceptation est vraie inspire parmi les annonceurs et sa grande portée. Dans ce contexte, YouTube et la TV méritent de continuer à coexister, en offrant des opportunités exclusives et complémentaires pour les créateurs, les marques et les téléspectateurs.

Une famille moyenne dépense 775 €, comme dans l’année (Statbel, 2022). Avec l’inflation, nous méritons d’être autour de 800 euros, ce qui, en comparaison, permet d’économiser jusqu’à 250 euros par an. Ce n’est pas rien. La difficulté est qu’un fournisseur n’est pas intrinsèquement moins cher qu’un autre pour le même produit. Chacun devra faire ses courses en fonction de ses besoins. . .

En Belgique, la comparaison des coûts est encore plus compliquée car nous avons une culture du « package ». Ainsi, les pommes et les poires sont équilibrées. Il y a vingt ans, les leaders du marché contrôlaient la vente de tout en emballages complets. Les familles ne veulent plus d’un téléphone fixe, elles en ont toujours », explique Antoine Destrument. Il en va de même pour la télévision.   Sur 80 chaînes, de nombreux publics ne regardent que celles de la RTBF et de RTL, dont le maximum de programmes sont disponibles via Auvio ou RTL play avec une connexion Internet indéniable. Pour l’expert, c’est plus vieux de prendre le temps de s’interroger. Si vous êtes à la retraite et que vous passez beaucoup de temps à la maison, par exemple, voulez-vous vraiment beaucoup de gigaoctets ?Incertain.

Olivier Bonaventure est du même avis : « Il faut se comparer, car les Belges souscrivent en moyenne à des formules qui dépassent leurs désirs, en raison d’un marketing offensif. »Il conclut en mentionnant l’offrande d’un œil avec une offre d’un haut débit de 10 gigabits compatible avec le second. « Personne ne veut ça. Y compris les banderoles. Ou ceux qui jouent à des jeux vidéo en ligne. En fait, les ordinateurs maximum ne peuvent techniquement pas gérer cette vitesse. Les clients n’y parviendront jamais. Même si les consommateurs reprennent du poids face aux géants des télécoms, restez sur vos gardes. . .

Les consommateurs attendent ce moment depuis des années. D’autant plus que les tarifs douaniers ont considérablement augmenté, jusqu’à plus de 10 %, depuis 2020. Ils le peuvent, même si tout se réjouit, car l’augmentation des coûts des abonnements à Internet, à la télévision et à la téléphonie mérite d’être stoppée. Les bonnes nouvelles sont doubles. Tout d’abord, à partir du 1er novembre, les consommateurs pourront choisir leur modem ou leur routeur et ne plus nécessairement utiliser celui soumis par le fournisseur. Cela mérite de rendre moins difficile le passage d’un concurrent à un autre, car vous pourrez entretenir votre matériel. De plus, les coûts d’installation méritent d’être réduits. Cette loi renforce l’initiative introduite avec la procédure de « changement facile » déjà en place, qui facilite les démarches administratives lors de la sortie vers un autre fournisseur.

En autorisant sa venue, le but du Belgian Ride Pass était de faire bouger l’assiette du marché régi par le trio Proximus, Telenet/Base et Orange. Une véritable révolution, car ce quasi-monopole n’était pas favorable aux clients. Cela dit, comme l’explique l’économiste d’HEC liégeois Nicolas Neysen avec l’analogie de l’exercice : « Avoir plusieurs opérateurs, c’est comme autoriser plusieurs sociétés à construire des lignes de chemin de fer les unes à côté des autres lorsqu’elles passent au même endroit. Ça n’a pas de sens. C’est pourquoi le marché est structuré et pourquoi, en plus de ces 3 (bientôt quatre) acteurs, il y a des dizaines de fournisseurs qui contractent l’infrastructure des premiers. C’est un peu comme si plusieurs compagnies de chemin de fer utilisaient les mêmes rails.

L’augmentation des festivals, donc, dans un marché où les entreprises détiennent un gâteau qui a atteint ses limites (seulement 0,61% de la population n’est couverte par aucun opérateur, selon l’Bipt de l’Institut des télécommunications) ne peut qu’être bénéfique. . . . Tout le monde regarde beaucoup Digi et se prépare à s’adapter. Nous savons que cela va bousculer le marché. Destrumento, spécialiste des télécommunications chez Selectra, qui fournit sa recommandation sur la plate-forme CallMePower. be. « Les terres belges n’ont jamais été raisonnables jusqu’à présent, notamment parce qu’elles sont limitées par rapport à la France, par exemple. Il est donc plus difficile d’amortir les prix et les investissements, car il y a moins de clients potentiels. Ce nouveau festival fera donc la différence.

Avant de parler du prix, vous méritez de vérifier la disponibilité de l’offre sur votre domaine. Même dans les villes, les citoyens n’ont pas beaucoup d’options. Y compris à Bruxelles où les « monopoles de voisinage » persistent. A fortiori, le facteur est fondamental dans les espaces périurbains et à la campagne. Il existe encore quelques « zones blanches » qui n’ont été reprises par aucun opérateur. Et lorsqu’ils sont présents, la qualité du réseau laisse rarement à désirer. Parce que ce n’est pas parce que les entreprises promettent cent mégabits/seconde que vous les obtiendrez. Vérifiez donc le rendement moyen réel. Ces informations, pour les lignes constantes et cellulaires, doivent être disponibles pour votre domaine géographique via le portail de données de l’IBPT (BIPT-Data. be).

Et si vous aviez le choix ? Ce dernier n’est pas très adapté aux mobiles, car vous n’avez pas l’avantage. La vitesse est basée sur la densité de population. Plus il y a d’autres personnes qui se connectent à une antenne, plus celle-ci est lente », explique Olivier Bonaventure, spécialiste des PC chez Uclouvain. Pourquoi des événements comme le festival de Werchter se produisent-ils, les opérateurs portent des antennes transitoires. En revanche, pour les réseaux fixes, c’est-à-dire pour l’internet domestique, cette question est centrale. La réponse courte serait de dire la fibre optique, si disponible. , est l’option la plus productive car elle est la plus rapide. Sauf que son installation n’est pas si simple.

Les problèmes d’Olivier Bonaventure à 3 technologies récemment actives sur le territoire belge. Tout d’abord, Coconsistent with, qui atteint tous les foyers et entreprises du pays. Ce sont les câbles téléphoniques qui sont constitués des connexions « DSL » (ADSL, VDSL, VDSL 2). Ils seraient peut-être encore suffisants pour de nombreuses familles, puisque la vitesse réussit à cent mégabits cohérents avec la seconde. Cependant, cette génération commence doucement à réussir dans ses limites, notamment pour les familles qui pratiquent la visioconférence simultanée. Mais il a le mérite d’être le moins cher.

Deuxièmement, la télévision par câble via le câble coaxial classique. Orange et Telenet utilisent toujours cette technologie, ce qui lui permet de réussir à une vitesse de téléchargement de 1 gigabit/seconde, ce qui est plus que ce qui correspond aux téléchargements de vidéos si vous êtes un fan des médias sociaux. En fonction des formules et de leurs prix, cette rapidité peut être limitée. À l’heure actuelle, la fibre optique permet d’obtenir une vitesse de téléchargement uniforme. C’est le choix ultime chéri.

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