Nous, ainsi qu’un nombre limité de nos partenaires publicitaires, utilisons des cookies pour recueillir certaines de vos connaissances et les utiliser pour votre plus grand plaisir et vous fournir un contenu et des publicités personnalisés. Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’utilisation de ces informations, veuillez vérifier les paramètres de confidentialité de votre appareil et de votre navigateur (Nouvelle fenêtre) avant de poursuivre votre visite. En savoir plus (Nouvelle fenêtre)
Le coporte-parole de Québec solidaire prend une pause de l’audience pour une durée indéterminée.
Les produits qui ne présentent pas d’intérêt scientifiquement prouvé et qui peuvent causer des dommages seront achetés auprès de pdamageacies.
Revivez le regard de nos photographes en ce jour.
Le ministre Benoit Charette n’a pas prêté attention à son ministère, qui a demandé un BAPE pour la salle de réunion.
Les omnipraticiens craignent que le Québec ne se limite aux soins physiques avec son projet de règlement.
Les autorités russes n’ont fait état d’aucune victime à ce niveau.
Le scénario est critique à Orsk, a déclaré le ministre russe des Situations d’urgence, Alexandre Kourenkov, à son arrivée dans la ville marchande de plus de 200 000 habitants, près de la frontière avec le Kazakhstan.
Des images publiées sur Telegram le montrent entouré de sauveteurs dans un petit bateau. On peut voir que l’eau a atteint les fenêtres de certaines maisons et de plusieurs commerces.
Vendredi, la rupture d’un barrage à Orsk, près de la frontière avec le Kazakhstan, a provoqué une élévation du niveau de la mer, aggravée par les perturbations primaires et la fonte des glaces, ce qui n’est pas inhabituel à cette période de l’année dans de nombreuses régions russes.
Les inondations ne se limiteraient probablement pas à cette zone : selon le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, des inondations sont attendues dans les régions de Kourgane et de Tioumen en Sibérie occidentale dans les prochains jours.
À Orsk, plus de 4 500 maisons ont été inondées et plus de 4 000 personnes ont déjà été évacuées vers des abris temporaires, selon M. Kurenkov.
Les autorités ont classé la crise comme une urgence fédérale, ce qui a permis de dégager un budget spécial. Des renforts sont également arrivés sur place pour aider les spécialistes qui travaillent déjà.
Plus de 800 personnes ont également été évacuées vers la région voisine de Samara, également touchée par les inondations.
Des vidéos publiées sur les réseaux sociaux ont montré de nombreuses maisons sous l’eau brune, et d’autres personnes âgées ont été aidées par des sauveteurs vêtus de combinaisons orange.
Selon une première estimation du ministère de la Construction, les dommages causés aux habitations pourraient s’élever à plus de 21 milliards de roubles, soit plus de 3 milliards de dollars au taux de change actuel.
Face à la situation, le gouvernement régional a déjà annoncé que la ville ferait de l’enseignement à distance.
Plus tôt dimanche, le gouverneur régional, Denis Pasler, avait indiqué que les inondations dans la région d’Orenbourg n’étaient pas encore terminées.
Cependant, de fortes pluies sont attendues dans les prochaines heures, ce qui pourrait compliquer davantage la tâche des sauveteurs, ont-ils déclaré.
Selon le ministère des Situations d’urgence, les inondations menacent plus de 60 localités au total.
Selon les autorités régionales, le barrage d’Orsk, qui s’est partiellement effondré il y a deux jours, est conçu pour passer d’un point de l’Oural, le plus grand fleuve de la région, de 5,5 mètres à plus de neuf mètres ces derniers temps en raison de la fonte des neiges.
Le maire d’Orenbourg, ville géante plus à l’ouest et traversée par l’Oural, a également tiré la sonnette d’alarme.
Le scénario reste critique. L’eau arrive et dans les prochains jours, son point augmentera, a écrit Sergueï Salmine sur Telegram, ajoutant que la veille, l’Oural s’était élevé de 28 centimètres.
Le responsable a averti la population qu’en cas de panne de courant dans leurs maisons, les citoyens devraient quitter leurs maisons immédiatement.
Dans la ville, où des maisons ont déjà été inondées selon les autorités régionales, le pic des inondations est attendu mercredi, selon un représentant de l’agence météorologique fédérale, cité par l’agence de presse officielle TASS.
D’importantes inondations frappent également le Kazakhstan voisin, où le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev a déploré samedi une catastrophe naturelle, la plus importante en termes d’ampleur et de conséquences, au cours des 80 dernières années.