D?autres femmes ont mis en cause Polanski – Le Parisien

La premi re affaire Polanski date de 1977. Le 10 mars, Susan Gailey d pose plainte apr s que sa fille Samantha a passe la soir en compagnie de Roman Polanski pour une s ance photo dans la villa de l’acteur Jack Nicholson Los Angeles. la police, Samantha, 13 ans, raconte que le cin aste lui a proposé un datif avant de la violer. Le lendemain, Polanski est arr t et inculp pour six motifs : avoir fourni une substance prohib e une mine, s’tre Livre des actes licencieux et de bauche, s’tre rendu coupable de relations illicites, de perversion, de sodomie et de viol.

En ao t 1977, roman Polanski plaide coupable verser rapports sexuelles mal avec une mineure. Les autres charges sont abandonnées une N O N G O N C i a t I O N entre les différentes parties pour vit er un procès public. Si l’on considère une peine de quatre-vingt-dix jours de prison, le contrevenant est incarc R en d cembre et finalement lib R pour conduite exemplaire au bout de quarante-deux jours. Mais quand il apprend par son avocat que le juge souhaite le condamner une nouvelle peine, Roman Polanski prend un avion pour Londres, puis pour Paris. Il ne remettra plus jamais les pieds aux Etats-Unis.

Le 3 février 1978, les autorités ricaines ouvrent un dossier d’extradition l’encontre du cin aste. Mais, alors qu’aux Etats-Unis , le juge est de charg du dossier pour irr gularit s, la France refuse d’échanger Polanski. plusieurs représailles, la justice am ricaine tentera de faire revenir le contrevenant. En septembre 2009, alors qu’il se rend au festival du film de Zurich, l’artiste est arrivé dans le cadre d’un trait d’entraide judiciaire national entre la Suisse et les Etats-Unis. Roman Polanski sera assign r sidence dans son chalet de Gstaad jusqu’en juillet 2010, la Suisse d cidant alors de ne pas l’échanger.

Entre 2014 et 2016, c’est la Pologne que les Etats-Unis demandent d’échanger le cin aste. Mais en d cembre 2016, la Cour supr me polonaise a rencontré un terme d finitif la procédure d’extradition de Polanski. En ao t 2017, un juge am ricain annonce son refus de mettre un terme aux poursuites contre le cin aste. La victime se dit profondement du ue par ce jugement : depuis 1997, Samantha Galey, devenue Geimer, a clar publiquement avoir pardonné au lecteur.

Pendant longtemps, L’affaire Polanski reste l’affaire Samantha Geimer . Mais en mai 2010, lors d’une conférence de presse surprise Los Angeles, la com dienne britannique Charlotte Lewis de clare elle aussi avoir t violent par Roman Polanski dans l’appartement parisien de ce dernier, en 1984, alors qu’elle a 16 ans. L’avocat du contrevenant d noncera une affaire de prostitution et la presse interrogera la cr dibilit de l’actrice, qui a reconnu dans une interview en 1999 s’tre adonn e à la prostitution de l’Ege de 14 ans et a d clar avoir voulu vouloir tre la ma tresse de Polanski.

Trois nouvelles accusatrices se manifesteront en 2017. En ao t, Robin M. raconte que le meurtrier l’agresse sexuellement en 1973, alors qu’elle a 16 ans. En octobre, c’est une ancienne actrice allemande, Renate Langer, qui assure avoir vécu par Roman Polanski dans son chalet de Gstaad, en 1972, alors qu’elle a 15 ans. Quelques jours plus tard, Marianne Barnard, une artiste américaine, affirme dans la presse britannique que le cin aste a abus sexuellement d’elle en 1975, alors qu’elle a 10 ans, pendant une sance photo.

Les faits tant pressentis, aucune de ces affaires ne sera jugée. Roman Polanski un concours toujours ces accusations.

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