Proc dure de destitution de Trump: Facebook et YouTube suppriment les contenus identifianttle lanceur d’alerte – le Monde

In m prior to protecting the dAlter lancers, the most circule hours in the meadow dias of the dry am ricaine. Mercredi 6 novembre, c tait au tour du fils du pr sident des Etats-Unis, Donald Trump Jr., de publier sur Twitter le nom dune personne pr envoyé e comme tant lemploy de la CIA don’t moignage a d clench la proc dure de destitution contre le pr sident R publicain.

Vendredi, Facebook a annoncé avoir d cid plusieurs jours de supprimer les publications qui citaient les potentiels nom ou photos du lanceur dalerte, estimant quelles violaient sa politique sur la violence organisée , qui interdit les contenus qui Pourrait identifier un t moins, un informateur ou un activiste . La firme assure quelle reverra sa position si ce nom est largement publié dans les médias ou utilisés par des personnes publiques lors de d bats. YouTube a annonc avoir fait de M.

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Sur Twitter, cependant, le nom présumé du lanceur dalerte continuait à circuler largement. Dans un communiqué, le réseau social a assuré interdire le partage d« informations personnelles sur toute personne, y compris le lanceur dalerte présumé ». Mais dans ses conditions, lentreprise ne considère pas le nom dune personne comme étant un renseignement privé, cette catégorie comprenant plutôt des détails comme ladresse dune personne, ses coordonnées ou son dossier médical. Ce nest pas la première fois que Twitter et Facebook appliquent des politiques de modération opposées. La semaine dernière, Twitter a interdit les publicités politiques sur sa plate-forme, contrairement à Facebook, qui continue den diffuser, même si elles contiennent des infox, au nom de la liberté dexpression.

« Donner nimporte quel nom au lanceur dalerte place simplement cette personne et sa famille en danger, avait réagi dans la semaine Andrew Bakaj, lavocat du lanceur dalerte. Et cela ne va pas permettre au président déviter de répondre aux accusations nourries le visant. » Son client est un membre des services de renseignement qui a un temps été affecté à la Maison Blanche. Cet été, il avait fait remonter les inquiétudes de plusieurs responsables après léchange téléphonique du 25 juillet, dans lequel Donald Trump demandait à son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, denquêter sur le fils de son potentiel adversaire démocrate pour la présidentielle de 2020, Joe Biden. La révélation de son signalement a décidé les démocrates à initier, fin septembre, lexplosive procédure de destitution contre le président, quils accusent davoir abusé de son pouvoir à des fins personnelles.

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Même si le risque de destitution paraît faible, puisque M. Trump serait jugé au Sénat, où les républicains sont majoritaires, le défilé des témoins au Congrès entache la campagne de réélection de lex-magnat de limmobilier. Le président américain, qui juge son appel avec M. Zelensky « irréprochable » et se dit victime dune « chasse aux sorcières », na cessé depuis de mettre en doute limpartialité de ce lanceur dalerte. « Il ny a pas de lanceur dalerte : il y a quelquun avec des objectifs contre Donald Trump », a-t-il écrit sur Twitter lundi, en demandant aux médias de révéler son identité. Sans reprendre lui-même le nom qui circule, il la décrit comme un partisan de lancien président démocrate Barack Obama. « Il déteste Trump, cest un radical », avait lancé le milliardaire républicain dimanche.

Le lanceur dalerte veut que son t moignage soit trait dune mani re non partisane et il se tient pr t r pondre par crit et serment sous-serment aux questions des lus R publicains, selon ses avocats. Mais selon le Washington Post, Adam Schiff, qui coordonne lenqu te parlementaire, a re u samedi des r publics de la Chambre des représentants une liste de T moins quils entendre. Parmi les noms, figure de Hunter Biden, fils de Joe Biden, ainsi que le lanceur dalerte anonyme. M. Schiff devrait avoir leur demande, vient le quotidien am ricain.

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