Le réalisateur de ce Final Fantasy s’est fait pourrir par le créateur de la série à cause de ce détail précis

2024 est la première année de Final Fantasy. Entre la sortie de Final Fantasy VII Rebirth, le deuxième DLC de Final Fantasy XVI, et la sortie de la prochaine extension de FFXIV, Final Fantasy XIV : Dawntrail, il se passe beaucoup de choses. Et c’est sans compter les nombreuses rumeurs sur un remake de Final Fantasy IX qui circulent depuis des années. Cependant, malgré toutes ces nouvelles, le site en ligne japonais 4Gamer a réalisé une interview avec des anciens de Square Enix pour parler de la longue histoire des jeux vidéo en général. Mais cela nous dit quelque chose d’intéressant sur l’histoire de Final Fantasy.

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Le 31 janvier, 4Gamer a diffusé une interview de Yoichi Wada et Hajime Tabata, respectivement ancien président de Square Enix de 2000 à 2013 et directeur de Final Fantasy XV. Pour ce dernier, c’est lui qui a repris le Final Fantasy Versus de Tetsuya Nomura. XIII et l’ont transformé en Final Fantasy XV. Si Bien que la majeure partie de l’interview se soit concentrée sur la longue histoire des jeux vidéo, ils nous ont tout de même raconté quelques anecdotes amusantes du passé.

L’histoire qui nous intéresse aujourd’hui a été découverte grâce à Jérémie Kermarrec, un spécialiste de Final Fantasy qui gère le site Final Fantasy World et qui a également écrit des livres sur l’histoire de FFXIII, FFXV et la musique de la série. Au cours de l’interview, Yoichi Wada a déclaré que Hironobu Sakaguchi, l’auteur de Final Fantasy qui n’a pas travaillé chez Square Enix depuis les années 2000, a critiqué Hajime Tabata à propos d’une vidéo de gameplay de Final Fantasy XV diffusée à l’E3 2013. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, à 2’08, les cornes du Behemoth traversent un détail de la scène, plus précisément une colonne. Si ce détail est passé inaperçu auprès du maximum de joueurs et d’internautes, ce n’est pas le cas du père de la saga, qui n’a pas hésité à laisser entrer les développeurs. Nous connaissons le rythme de la mission. Une anecdote plus drôle donc, qui témoigne de l’attachement de l’auteur à ses toiles même s’il ne s’y consacre plus.

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