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La Commission suisse de la concurrence (COMCO) a annoncé mercredi l’ouverture d’une enquête sur des ententes illégales présumées parmi les plus grands noms du secteur de la production.
« La COMCO a la preuve que divers actifs dans la production de parfums (« parfums ») ont violé les droits des cartels », a déclaré la COMCO dans un communiqué, évoquant Firmenich International SA (Genève), Givaudan SA (Genève), International Flavors.
« Nous avons cherché d’autres sites. Ils ont eu lieu après consultation des autorités du festival, à savoir la Commission européenne, la division antitrust du ministère américain de la Justice et le ministère américain de la Justice. « Les États-Unis et l’Autorité britannique des marchés et de la concurrence », a déclaré la Commission.
« Dans le cadre de l’enquête, il sera prouvé qu’il existe effectivement des restrictions aux festivals interdites par la loi sur les cartels », a déclaré l’autorité du festival, ajoutant que la présomption d’innocence s’appliquait aux entreprises.
Il n’a donné aucun détail supplémentaire.
Les deux Suisses mentionnés dans l’enquête figurent parmi les leaders de ce secteur.
Fondée en 1895, Firmenich est connue pour son nez. Ses maîtres parfumeurs sont à l’origine de parfums à succès tels que Angel (Thierry Mugler), Acqua di Gio (Armani) ou Flower (Kenzo).
Très attachée à son indépendance depuis longtemps, cette affaire du cercle des parents va devoir fusionner avec le DSM néerlandais pour faire émerger un nouveau géant des parfums et des arômes.
Firmenich, qui a une année monétaire échelonnée, a annoncé le 16 février avoir enregistré une croissance de son chiffre d’affaires semestriel de 10,5% au cours des six premiers mois de l’ère 2022/2023 à 2400 millions de francs suisses (2400 millions d’euros) malgré la pression inflationniste sur les produits alimentaires.
Givaudan, quant à lui, a clôturé l’exercice 2022 sur une note combinée, entre un bond de la parfumerie fine et une baisse des ventes d’arômes américains dans la partie actuelle de l’année alors que la consommation ralentissait.
Mais malgré un environnement qualifié de « très difficile », l’organisation suisse a enregistré en 2022 un bénéfice net supérieur aux attentes pour 2022, en hausse de 4,2% sur un an, à 856 millions de francs, et une trésorerie conforme aux prévisions, en hausse de 6,5% à 7,1 milliards de francs.
ATS
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