Google exigera que les petites annonces politiques conçues par l’IA le mentionnent

Anorexie et boulimie Le Québec a servi plus de 24 000 personnes au cours de la dernière année.

Les vents de l’ouragan ont atteint 129 km/h en 24 heures.

Avez-vous remarqué qu’on vous demande de plus en plus de pourboire, quel que soit le service fourni?Ne soyez pas dupe.

Gerry Frappier l’avait prédit : le contrat de télévision nationale de la LNH comporte un risque monétaire merveilleux

C’est le tremblement de terre le plus dur à frapper le pays à ce jour.

Le séisme le plus dur de l’histoire du Maroc : 1 305 morts, 1 832 blessés, dont 1 220 dans un état grave.

Les dirigeants se sont mis d’accord sur une déclaration le premier jour du sommet à New Delhi, en Inde.

Les pays en développement sont une force diplomatique géante dans le monde.

Une centaine de jeunes du parti se réuniront samedi à Saint-Jean-sur-Richelieu.

La mention mérite d’être transparente et proéminente, a souligné Google, ajoutant des exemples de tags imaginables: Ce symbole ne montre aucune occasion authentique ou Cette vidéo a été générée artificiellement.

Cette décision du numéro un mondial de la publicité virtuelle intervient dans un contexte où les progrès de l’IA suscitent des craintes quant à son utilisation abusive possible, en particulier dans la campagne pour l’élection présidentielle américaine de 2024.

En raison de l’utilisation croissante d’équipements qui génèrent du contenu synthétique, nous élargissons notre politique en exigeant que les annonceurs signalent lorsque leurs petites annonces électorales incluent des éléments qui ont été créés ou modifiés numériquement.

L’organisation vend ses propres espaces publicitaires et applications et agit en tant qu’intermédiaire entre les annonceurs qui ont besoin de positionner leurs petites annonces en ligne et les tiers ou applications qui les affichent.

Google interdit déjà la manipulation de contenu virtuel pour mentir à d’autres personnes sur des questions politiques et les petites annonces avec de fausses déclarations qui peuvent miner l’acceptation du public comme vraie dans la formule électorale pour les petites annonces qu’il gère via ses plateformes.

Début juillet, le comité de Ron DeSantis, le candidat numéro un du Parti républicain aux États-Unis, avait suscité la polémique en utilisant dans le domaine publicitaire une fausse voix de Donald Trump générée par une IA et similaire à celle de l’ancien président.

Le géant californien a déclaré qu’il procéderait à des investissements pour pouvoir mieux détecter ces éléments et les éliminer.

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