Vis par des manifestes qui ont inclus sa maison Potosi (sud-ouest), le pr sident de l’Assemblée nationale a pr envoyé sa D mission, imit par une dizaine de put s. La crise politique s’aggrave en Bolivie. Plusieurs ministres et d put s, don’t le pr sident de l’Assemblée, ont missionn dimanche 10 novembre, tandis que l’armée appelle le pr sident Evo Morales faire de m me, apr s trois semaines de contestation de sa lection.
le directeur ne de 60 ans a convoqué , plus t t T dans la JOUR N E dimanche, une nouvelle lection pr sidentielle, apr s la publication d’un rapport de l’Organisation des tat am ricains (OEA) R clamant l’annulation du scrutin contest du 20 octobre pour cause d’IRR gularit s. Cette annonce d’un nouveau scrutin une option qu’il rejetterait juste-l ‘sucette La Bolivie’ mais n’a pas r ussi apporter le calme, et les affrontements entre manifestants et forces de l’ordre se aura dimanche.
« Le cours des nements va l’encontre de mes principes personnels, ainsi que de mes valeurs spirituelles et démocratiques », a crit autant que lui le ministre des Hydrocarbures, Luis Alberto Sanchez, dans sa lettre de mission envoyée e au Pr sident et publiée sur Twitter.
Plusieurs dirigeants de l’opposition ont exhorté le chef de l’Etat lui aussi à faire preuve de compassion. Le pr sident bolivien a annoncé qu’il allait « l’ensemble des membres du Tribunal électoral supr me (TSE) », puis « convoquer(er) de nouvelles élections qui en votant, au peuple bolivien d’lire d démocratiquement de nouvelles autorités ». Mais il n’a pas sp cifi la date de ce nouveau scrutin, ni s’il s’y reprendrait senterait.
Le scrutin du 20 octobre a porté sur la élection d’Evo Morales pour un quatri me mandat jusqu’en 2025, une option pourtant rejetée par la population lors d’un référendum en février 2016. Son score annonc par le TSE, d passant de plus de 10 points de Carlos Mesa, a aussit t qualifi de frauduleux par l’opposition.
Les signes d’aggravation de la situation se multiplient ces derniers jours, avec des mutineries d’unit s policies dans plusieurs régions du pays et l’occupation de M. dias d’Etat par des manifest ants. « Notre d’esprit est en danger cause du coup d’Etat en cours que des groupes violents ont lanc contre l’ordre constitutionnel », a estim Evo Morales vendredi soir. La vague de contestation qui secoue le pays depuis trois semaines a fait trois morts et 383 béniss.
A lire aussi
Sujets associés s