A Nice, Macron dénonce un « attentat terroriste islamiste » contre la France

« Très évidemment, c’est la France qui est attaquée »: Emmanuel Macron a dénoncé jeudi depuis Nice « une attaque terroriste islamiste » dans la basilique Notre-Dame qui a fait 3 morts et annoncé le passage de 3. 000 à 7. 000 nourrissons pour l’opération Sentinelle pour le culte et les écoles.

« Notre pays a frappé à travers une attaque terroriste islamiste, une fois de retour ce matin, trois de nos compatriotes sont tombés à Nice », a déclaré le chef de l’Etat, devant l’église où l’agression à l’arme blanche a eu lieu.

« Dans le même temps, un Français consulaire a été attaqué, en Arabie saoudite à Djeddah; Dans le même temps, des arrestations ont été effectuées sur notre territoire », a-t-il ajouté, entouré du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et du ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti.

Un Afghan en costume classique, armé d’un couteau et soupçonné de se produire, a été arrêté jeudi à Lyon, près du poste d’exercice de Perrache.

Le représentant a indiqué qu’il consacrerait « dans les prochaines heures » « la mobilisation en tant que composante de l’opération Sentinelle de 3. 000 à 7. 000 militaires sur notre sol » afin de « protéger tous les lieux de culte ». Dans les composantes, bien sûr, les églises afin que le Jour de la Toussaint puisse prendre position dans les situations qui sont dues.

Il a également promis que les écoles seraient « pour la prochaine année scolaire ».

« Je dois dire ici, tout d’abord, celle de tout le pays aux catholiques de France et d’ailleurs », a ajouté Emmanuel Macron.

« Après l’assassinat du père Hamel à l’été 2016, ce sont les catholiques de retour qui sont attaqués dans notre pays, menacés », a ajouté le chef de l’Etat, répétant que « toute la nation » restera « pour que la foi continue à s’entraîner librement dans notre pays ».

Il a également rappelé que la ville de Nice avait été attaquée pour la « troisième fois » par « terrorisme » après l’attentat qui avait fait 86 morts en 2016 et une attaque l’année précédente contre des soldats. « Je sais la surprise que votre ville ressent, et avec c’est le pays total et je suis le total mondial qui nous regarde », a-t-il déclaré au maire de LR de la ville, Christian Estrosi, qui était à ses côtés.

Face sérieuse, le président de la République a exprimé « un message de fermeté absolue » et « appelé unité ».

« En France, il n’y a qu’une seule communauté. C’est la communauté nationale. Je dois dire à tous nos concitoyens, quelle que soit leur religion, qu’ils soient ou non « Array », que nous devons, dans ces moments-là, nous unir et ne pas céder à l’esprit de division », a-t-il dit.

Emmanuel Macron a demandé à son retour « de ne céder à aucun esprit de terreur ». « Je sais que tous nos concitoyens sont maintenant profondément surpris, surpris par ce qui vient de se passer une fois, alors je demande l’unité. »

jri-bap-cg-pab-caz / ib / nm

Alors que les plaintes des maires et des investisseurs ne diminuent pas, la communication du gouvernement est déroutant . . .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *