Ce que l’on sait du parc japonais qui accueillera au moins une orque de Marineland

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L’exfiltration d’orques de Marineland vers le Japon prend forme. Des avions-cargos ont été réservés, mais aucune date n’a encore été fixée, selon nos sources.

Un contrôle de tension a été effectué mardi au zoo marin d’Antibes, au cours duquel les mammifères ont été placés dans une « piscine médicale » presque vide et placés sur des civières en forme de hamac accrochées à des grues pour le transport.

Au moins une des trois orques Wikie, Keijo et Inouk, toutes nées en captivité, serait transférée au Kamogawa Sea World, qui a d’ailleurs annoncé une fermeture exceptionnelle le 17 janvier. 

Ce parc est situé au bord de l’océan Pacifique dans le canton de Kamogawa, dans la préfecture de Chiba, dans la partie centre-est de l’île principale du Japon.

Sea World accueille des orques, des dauphins, des bélugas et des otaries. Des orques et des dauphins qui, avec la loi de 2021 sur la maltraitance animale, seront interdits en France à partir de décembre 2026, d’où le transfert de mammifères anti-haricots au Japon.

« Est-ce ainsi que le gouvernement tente de tenir sa promesse de mettre fin à la captivité des orques d’ici 2030 ?Permettre aux parcs français de s’en débarrasser à l’étranger, où ils continueront d’être exploités jusqu’à leur dernier souffle, au lieu d’essayer de les placer dans des sanctuaires comme promis ?a déclaré l’arrangement One Voice dans un cet été.

Kamogawa Sea World « présente des bassins beaucoup plus petits, avec plus d’animaux, aucune couverture légale pour les cétacés et des méthodes d’apprentissage scandaleuses », a déclaré le collectif Tilikum’s Spirit en décembre.

En 2011, il y avait encore « sept orques retenues captives au Japon, dans les bassins de Kamogawa Sea World, dont trois d’origine sauvage et quatre nées en captivité », a indiqué l’association Réseau-Cétacés.

D’autres animaux tels que les méduses, les phoques, les pingouins, les macareux, les tortues de mer ou les pélicans s’accumulent dans des aquariums ou des enclos pour reproduire des situations de vie dans le milieu végétal.

Moyennant paiement, les visiteurs peuvent toucher des bélugas, nourrir des requins, avoir une photo avec une « otarie gentille et souriante » et avec des dauphins, qu’il est également possible de « caresser » et de nourrir. 

La possibilité d’élever des dauphins dans un bassin d’eau de 60 cm, baptisé « Enchanting Dolphins », est « suspendue pour le moment en raison des cas d’animaux », peut-on lire sur le site web du parc mercredi 10 janvier.

Ils coûtent entre 650 et 1 500 yens, soit entre 4 et 9,5 euros, étant donné que l’entrée au parc avec un prix de départ est d’environ 20,7 euros pour un adulte.

Contacté mardi, le parc Marineland d’Antibes a souhaité faire un commentaire.

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